Stendhal. Oeuvres romanesques complètes II. Collection de la Pléiade

Stendhal

 

Œuvres romanesques complètes, tome II

Après quinze années de traversée du désert, les Trois Glorieuses, auxquelles Stendhal assiste avec joie, le remettent en selle professionnellement. Sa nomination à un poste diplomatique subalterne à l’étranger modifie également les conditions d’exercice de son activité littéraire. Il laisse derrière lui Le Rouge et le Noir, dont il espère qu’il sera un billet gagnant à la loterie de la gloire. Il lui faudra du temps pour s’acclimater à la nullité poisseuse de Civitavecchia, pour organiser sa vie entre la morne besogne consulaire et les bouffées d’oxygène que lui offrent ses escapades à Rome auprès de ses amis ou de sa maîtresse, et pour se lancer dans des entreprises d’écriture ambitieuses.

En mars 1833, la découverte des manuscrits romains lui ouvre un filon qu’il exploitera jusqu’à la fin : celui des nouvelles italiennes, qui sont certes au goût du jour et donc commercialement rentables, mais qui l’autorisent à chanter dans son arbre généalogique fantasmé.

C’est pourtant, à distance et avec un recul quasi clinique, la France du plus fripon des Kings, du roi Louis-Philippe Ier, qu’il se propose de « scanner », dirions-nous aujourd’hui, dans les rouages intimes de sa machine sans âme, son personnel corrompu à tous les étages, ses opposants dérisoires. Lucien Leuwen sera le roman-somme d’un régime, celui de la médiocratie désormais installée aux « affaires » (dans tous les sens du terme). Ce roman de la boue contemporaine, dont, comme partout chez Stendhal, un jeune homme de qualité, en quête de sens et de valeur, c’est-à-dire d’amour, essaie de ne pas se laisser éclabousser, œuvre d’un fonctionnaire du système qu’il dénonce, ne sera abandonné que parce que l’essentiel avait été dit. Évidemment impubliable en un temps où des « lois liberticides » bâillonnent la presse et l’édition, il restera dans les tiroirs de M. le consul.

En 1855, Romain Colomb (le cousin et exécuteur testamentaire de Stendhal) publie les dix-huit premiers chapitres de ce roman, établis d’après la copie dictée revue par l’auteur en vue de l’impression, sous le titre du Chasseur vert. Pour la première fois, la présente édition revient à la source de l’écriture stendhalienne en donnant l’intégralité du texte du manuscrit autographe rédigé et corrigé entre mai 1834 et novembre 1836 et en permettant de prendre connaissance, en bas de page, des remarques notées dans la marge par l’écrivain au fil de la composition de son œuvre — ces marginales, qui peuvent être strictement intimes (emploi du temps, humeur, état de santé du consul), renseignent surtout sur la méthode de travail du romancier. À la suite du manuscrit autographe, on trouvera la version du Chasseur vert, ainsi que des Appendices regroupant ébauches, plans, pilotis, passages retranchés, etc. Mis en corrélation, ces éléments invitent le lecteur à suivre pas à pas le fascinant processus de la création littéraire.

Nouvelle édition établie par Yves Ansel, Philippe Berthier et Xavier Bourdenet.

No 13 de la collection. Tome III en préparation.

Un volume, relié pleine peau sous coffret illustré

Format : 105 x 170

Nombre de pages : 1488

Date de mise en vente : 4 octobre 2007

Prix : 60 €

Prix de lancement : 52,50 € jusqu’au 31 janvier 2008

 

stendhal

Œuvres romanesques complètes, II

édition établie

par yves ansel, philippe berthier

et xavier bourdenet

Avant-propos

Chronologie, Avertissement

par Philippe Berthier

LE JUIF

SAN FRANCESCO A RIPA

LE LAC DE GENÈVE

PAUL SERGAR

UNE POSITION SOCIALE

Textes établis, présentés et annotés
par Philippe Berthier

LUCIEN LEUWEN

manuscrit autographe

le chasseur vert

appendices

Textes établis, présentés et annotés
par Yves Ansel et Xavier Bourdenet

MARIA FORTUNA

ANECDOTE ITALIENNE

VITA DI D. RUGGIERO

VITTORIA ACCORAMBONI

TAMIRA WANGHEN

LE ROSE ET LE VERT

LES CENCI

HISTOIRE DE MME TARIN

LE CONSPIRATEUR

Textes établis, présentés et annotés
par Philippe Berthier

Notices,

notes et variantes

 

Stendhal à Cosmopolis

Stendhal à Cosmopolis

Stendhal et ses langues

Textes réunis et présentés par Marie-Rose Corredor

Collection BIBLIOTHÈQUE STENDHALIENNE ET ROMANTIQUE

Il s’agit d’une approche plurielle qui rend compte de la curiosité du linguiste à Milan, de l’argumentation du pamphlétaire, du questionnement du traducteur ; pour l’habitant de « Cosmopolis » selon le mot de Valéry, les langues – vivantes ou mortes – sont un lieu de d’appropriation et de reconfiguration : une polyglossie constante dans les textes à usage intime tendant à suggérer une autre langue, le « stendhalien ».

Cet ouvrage se propose de revoir la phrase célèbre de P. Valéry – « son moi vit à Cosmopolis et pense en toutes les langues » – en examinant quelques relations essentielles de Stendhal aux langues – vivantes ou mortes – qu’il connaissait ou semblait connaître. Dans le cadre d’un « cosmopolitisme » que lui-même revendiquait, son implication dans les débats linguistiques de son temps a valeur de symptôme et n’exclut en rien les démarches personnelles d’appropriation qui ont fait parler de « marqueterie d’idiomes » ou de « sabir » à son égard.

ELLUG 2007 – 366 p. – 14 x 21,5 cm – ISBN 978 2 84310 103 8 – prix 26 €

Table des matières

 

HB Revue internationale d’études stendhaliennes, n° 9-10

HB Revue internationale d’études stendhaliennes, n° 9-10

EUREDIT 303 p. 42 euros ttc

Sommaire

Dossier

Le Don Juan de Mozart et les écrivains romantiques.
Journée d’étude – Sorbonne – 9 décembre
2006. Textes réunis par Michel Arrous

Stendhal et Mozart

Par Michel Crouzet

Ombre et lumière de la sensibilité romantique face au Don Juan de Mozart

Par Joseph-Marc Bailbé

Madame de Staël et Don Giovanni

Par Nicolas Perot

George Sand metteur en scène de Don Juan

Par Béatrice Didier

Le Don Juan de Mozart dans Le Château des Désertes de George Sand

Par Pierrette Pavet-Jörg

Le Mythe de Don Juan dans l’œuvre de Victor Hugo

Par Arnaud Laster

Stendhal et Mozart dans le Paris du Ier Empire

Par David Chaillou

La Réception du Don Giovanni de Mozart chez Stendhal et E.T.A. Hoffmann

Par Elisabeth Scheele

La Réception danoise de Don Giovanni (Kierkegaard, Andersen et autres…)

Par Merete Gerlach-Nielsen

Varia

De la source au texte. Un aspect de la création dans Le Rouge et le Noir

Par Nobuhiro Takaki

Mérimée, épistolier satirique : les lettres à la comtesse de Boigne

Par Thierry Ozwald

D’une statue l’autre : de la Vénus d’Ille à la Vierge de Montserrat ou le secret de la dame en noir

Par Clarisse Réquéna

Napoléon en Russie, 1812-1869. Une rencontre littéraire entre Tolstoï et Stendhal

Par Françoise Guinoiseau

Stendhal et Naples

Par Léda D’Aléo

Sur la réception de Stendhal en Scandinavie. Quelques exemples

Par Merete Gerlach-Nielsen

État présent des études stendhaliennes au Japon (2000-2006)

Par Nobuhiro Takaki

Notes

Alphonse Karr et les Mémoires d’un Touriste

Par Michel Brix

Prosper Mérimée : orthographe et grammaire françaises

Par Clarisse Réquéna

HB et les very few. Stephen Vizinczey lecteur de Stendhal

Par Pierrette Pavet-Jörg

Livres

Le sang, la violence et la mort chez Stendhal, Mérimée et les romantiques

LE SANG, LA VIOLENCE ET LA MORT CHEZ STENDHAL, MÉRIMÉE ET LES ROMANTIQUES

Colloque

organisé par

Stendhal aujourd’hui et HB, Revue internationale d’études
stendhaliennes


Vendredi 5 octobre 2007, INHA, salle Giorgio Vasari, 2, rue Vivienne, Paris 2e

9 h Max Andréoli (Grasse)

Vision romantique de la Terreur

9 h 30 Sylvain Ledda

La mort sur la scène romantique : de la théorie à la polémique

10 h Merete Gerlach-Nielsen (UNESCO)

La violence et la mort chez quelques romanciers danois : comique et tragique.

Discussion

11h Marie Makropoulou (Université Aristote, Thessalonique)

Maupassant, La Vie errante ou la prescience d’une mort heureuse

11 h 30 Claudie Bernard (New York University)

Des loups et des hommes : l’expression de la justice dans Madame Putiphar de Pétrus Borel le Lycanthrope

Discussion

14 h Fabienne Bercégol (Université de Bordeaux III)

Des Natchez aux Martyrs : violence de l’Éros chez Chateaubriand

14 h 30 Christine Marcandier (Université de Provence)

Stendhal, Mérimée, le gai savoir de la violence

15 h Jacques Birnberg (Monash University)

Du côté des Cenci

Discussion

16 h François Géal (ENS Ulm)

Une poétique du saisissement : les derniers instants du condamné à mort dans la IIe Lettre d’Espagne de Mérimée (« Une exécution »)

16 h 30 Thierry Ozwald (Besançon)

Névrose familiale et psychose collective dans la Chronique du règne de Charles IX

Discussion

Samedi 6 octobre 2007, Sorbonne, amphithéâtre Michelet

9 h Hélène Spengler (Université de Savoie)

Barbarus hic ego sum qui non intelligor illis. Stendhal ou l’autre romantisme

9 h 30 Clarisse Réquéna (Paris)

La corrida, une « tragédie romantique » ?

10 h Joseph-Marc Bailbé (Université de Rouen)

Don Juan chez Mérimée (Les Âmes du Purgatoire, 1834) : la violence et le sacré

Discussion

11 h Andrée Mansau (Université de Toulouse-Le Mirail)

Tombeaux de femmes à Rome

11 h 30 Suzel Esquier (CRRR, Université de Clermont-Ferrand)

La mise en scène de la mort dans l’opéra Otello de Rossini

12 h Liliane Lascoux (CRLC, Université de Paris IV- Sorbonne)

Les registres de l’excès dans Carmen, de Mérimée à Bizet

Discussion

14 h 30 Fanny Bérat-Esquier (Paris)

Baudelaire et Stendhal critiques d’art autour de la figure de Delacroix : le « sauvage » en peinture

15 h Michel Crouzet (Université de Paris IV- Sorbonne)

Civilisation, culture, barbarie, ou la violence dans l’œuvre de Stendhal

Discussion

Les Cenci

Les Cenci

Stendhal : Les Cenci

HATIER Classiques & Cie

http://www.editions-hatier.fr/

* Discipline : Français , Lettres , Littérature
* Classe : Terminale , 1ère , 2nde
* Support : Livre de l’élève , Textes classiques , Oeuvres classique
* Collection : Classiques & Cie
* Auteur(s) : Stendhal, Marc Robert, Rachel Pages
* Date de parution : 29/08/2007
* Prix : 2,8 €
* Code : 4976676

Texte intégral

Dans l’Italie du XVIe siècle, le meurtre d’un père par ses enfants, châtiés à leur tour par la justice du pape, inspire à Stendhal un récit vibrant et passioné.

L’édition Classiques & Cie de cette chronique italienne comprend :
– le texte, dans sa version intégrale, associé à différentes notes lexicales et culturelles,
– un dossier complet, regroupant des analyses détaillées, des textes complémentaires et des sujets de type bac, qui permet de percevoir les caractéristiques clés de l’oeuvre.

Ce texte s’inscrit dans le cadre de plusieurs objets d’étude, pour les classes de seconde :
Le récit (le roman et la nouvelle) et Un mouvement littéraire et culturel du XIXe ou du XXe siècle?

Nouvelle traduction de La Chartreuse de Parme en allemand

Stendhal, Die Kartause von Parma.
(La Chartreuse de Parme.)
Herausgegeben und übersetzt von Elisabeth Edl
998 pages, rélié pleine toile, € 34,90
Carl Hanser Verlag, Munich
ISBN 978-3-446-20935-0
Date de parution : le 15 septembre 2007.

Carl Hanser Verlag
Vilshofener Strasse 10
D-81679 München / Munich
Tél. ++49 (0)89.99830507
Mail: lektorat-belletristik@hanser.de
Link : http://www.hanser.de/buch.asp?isbn=978-3-446-20935-0&area=Literatur

Index analytique de la Bibliographie stendhalienne générale

Vient de paraitre:

Emanuele Kanceff

Index analytique de la Bibliographie stendhalienne générale sous la direction de V. Del Litto

2 volumes (A-L et M-Z) 745 p. 40,00 euros par tome (soit 80 pour l’ensemble)

Bibliothèque du Voyage en Italie 30/7

2007

ISBN 88-7760-030-6

Éditions du CIRVI 10024 MONCALIERI (Italie) fax +39 011644355 email cirvi@cirvi.it

La Bibliographie stendhalienne générale ne pouvait pas rester sans un index analytique qui, en offrant de multiples entrées, en rapprochant ce qui est dispersé, en associant objets et idées, puisse non seulement en rendre bien plus aisée et efficace la consultation, mais aussi contribuer puissemment aux messages culturels possibles.

L’ordre de la bibliographie que V. Del Litto a conçu était par années et par sections à l’intérieur de chaque année. Ces sections ont été en gros respectées dans les six tomes de la Bibliographie, en reproduisant assez fidèlement l’agencement que l’auteur avait conçu, pour rendre cet instrument plus clair et efficace, et qui d’ailleurs a évolué au fur et à mesure que les publications se succédaient, car de nouvelles sections et sous-sections devaient naître face aux nouvelles exigences. Mais, bien que clair et rationnel, cet agencement rendait la recherche compliquée et parfois longue, sans aucune possibilité de vérification certaine. Seul l’index alphabétique est en mesure de fournir une recherche aisée et complète. Pour atteindre pleinement ses buts, l’index devait être le plus possible analytique: c’est ce qui nous a convaicu de n’omettre presque rien des réalités contenues dans la Bibliographie, même les « éditeurs de Stendhal », qui font aussi l’objet d’une section ultérieure, même les villes citées, dont la présence comparée peut être source de conclusions critiques au delà des liaisons qu’on peut constater, et bien entendu en premier lieu les titres, qui forment une partie très importante de l’ensemble, en original et en traduction.

Lettre autographe

STENDHAL (Henri Beyle, dit) [Grenoble, 1783 – Paris, 1842], écrivain français.
Lettre autographe signée « Dubois », adressée à sa sœur Pauline. Vienne, 29 novembre 1809 ; 4 pages in-4°. Il s’apprête à partir de Sankt-Pölten quand un de ses camarades lui propose un voyage à Vienne. « Pourquoi pas tout de suite ? Mais nous laissera-t-on passer sans ordre ni passeports ? Nous verrons. » Ils envoient chercher des chevaux de poste. « On nous en donne sans ordre. Nous partons à neuf heures et demie ; tout le long de la route, nous sommes arrêtés par nos postes ; moitié endormis, nous répondons en allemand ; on nous poursuit, on jure et nous avons quelque peine à les renvoyer. » Puis ils arrivent à la frontière autrichienne qu’ils franchissent après quelques difficultés. Ils retrouvent trois de leurs amis qui les informent : « l’empereur François II va aller à Saint-Étienne, pour assister à un Te Deum. Il est arrivé avant-hier dans une mauvaise calèche de poste, mais attelée de six chevaux blancs. » Arrivé au Palais impérial de Vienne, il a été vivement et longtemps acclamé par le peuple. Ils ne pouvaient garder leur uniforme français : « Arrivés ce matin chez nos camarades, il a été question de trouver des chapeaux ronds […]. Mais nul chapeau n’allait à ma grosse tête ; on déterre enfin un vieux claque de bal. » Ils se rendent vers le château pour distinguer « un petit homme grêle, figure insignifiante, usée, saluant d’une manière comique. François II porte un chapeau à trois cornes. » Ils se rendent ensuite à « à Saint-Étienne, magnifique église gothique » où après être entrés, ils entendent « Voilà encore un Français ! ». Stendhal distingue « Mme S..la plus belle femme de la ville. […] Il est heureux pour moi de voir, le dernier jour de mon séjour à Vienne, la femme la plus belle et l’évènement le plus remarquable. » François II arrive à l’église « l’air encore plus coinche, insignifiant, usé, fatigué : un homme à mettre dans du coton pour qu’il ait la force de respirer. […] Le Te Deum, que les premières mesures annonçaient cependant devoir être très beau, je suis venu me chauffer; je n’ai trouvé personne, et je t’écris tout chaud mon histoire pendant que le Te Deum dure encore. » 8000 €

Galerie ARTS ET AUTOGRAPHES
Jean-Emmanuel RAUX, expert
9, rue de l’Odeon – 75006 PARIS
tel.: 33 (0)1 43 25 60 48 – fax: 33 (0)1 40 51 03 98
Galerie ouverte du mardi au samedi inclus de 11 h a 12 h 30 et 14 h 00 à 18 h 00
Email : autographes@wanadoo.fr
http://www.autographes-online.com
http://www.autographes-enligne.com
et aussi: http://www.franceantiq.fr/raux/

L’Année stendhalienne N°6

L’ANNEE STENDHALIENNE N°6 2007. L’HISTOIRE DE LA PEINTURE EN ITALIE

Daniela Gallo, La Leçon de l’antique ; Michel Guérin, Le Motif du « beau moderne » ; Mariella Di Maio, Dante et Michel-Ange ; Philippe Berthier, Peut-on voir Dieu en peinture ? ; Yves Ansel, L’Histoire de la peinture en Italie, « pamphlet de Dominique » ; Xavier Bourdenet, Histoire de la peinture en Italie : logiques de l’Histoire ? ; Marie De Gandt, Temporalités de l’art romantique ; Marie Rose Corredor, Télescope et « neige piétinée » : la « folie du voir » ; Agathe Lechevalier, Stendhal et le « thermomètre du beau » : la « chaleur » dans l’Histoire de la peinture en Italie ; Marie Parmentier, L’ethos dans l’Histoire de la peinture en Italie : une construction fragile ; Martine Reid, Stendhal et la pensée du livre ; François Vanoosthuyse, Ut pictura poesis ? Remarques sur le style de l’Histoire de la peinture en Italie ; Marie-Pierre Chabanne, Eugène Delacroix, lecteur de l’Histoire de la peinture en Italie ; Valentina Fortunato, Le télégraphe : d’invention à symbole derégime. Aspects historiques et littéraires ; Shigeru Shimokawa, Stendhal et Jacques le Fataliste ; Hans Färnlöf, Pratique s poétiques. Remarques sur la motivation dans Le Rouge et le Noir. NOTES ET DOCUMENTS : C. W. Thompson : Pourquoi Armance est-elle slave ? ; François Bronner, L’exemplaire de La Chartreuse offert à Balzac ; Jacques Houbert : Deux lettres inédites de Stendhal. Un écho inconnu sur l’épisode de Waterloo. Portrait de l’artiste en trois hommes d’esprit. Contribution à l’hi stoire du stendhalisme (lettre inédite de Martineau). Un portrait fantôme de Stendhal dans la collection Primoli. Paul Désalmand : D’un chapeau l’autre. Gorki parlant de Stendhal.

Prix EUR TTC: 35.00

CHAMPION PARIS

PARUTION: 15.05.07

COLLECTION: ANNEE STENDHALIENNE

FORMAT: 15×22

432 pages broché

ISBN: 9782745315373

EAN: 9782745315373