Le site des manuscrits de Stendhal

LE SITE DES MANUSCRITS DE STENDHAL

Stendhal sera mis à l’honneur le mercredi 20 mai 2009 par la Ville de Grenoble et l’Université Grenoble 3 Stendhal, lors de l’inauguration officielle du site « Manuscrits de Stendhal » :

http://www.manuscrits-de-stendhal.org

Ce site commun aux deux institutions a été conçu par Cécile Meynard (Equipe Traverses 19-21) et Thomas Lebarbé (laboratoire LIDILEM), en étroite collaboration avec la Bibliothèque municipale d’étude et d’information.

Les utilisateurs pourront consulter les images numérisées par la Bibliothèque, ainsi que leurs transcriptions réalisées par les chercheurs du groupe de travail « Manuscrits de Stendhal ». À terme, un moteur de recherche permettra d’effectuer des recherches complexes sur le fonds, et des outils de TAL (traitement automatique de la langue) seront mis en place par les chercheurs linguistes de l’équipe. Les différents niveaux d’accès prévus en feront un site accessible aussi bien au grand public qu’aux amateurs éclairés et aux chercheurs spécialisés.

Chantal Massol

Décès du libraire Pierre Berès

Le libraire Pierre Berès est décédé le 28 juillet 2008 à l’âge de 95 ans.

À l’occasion de la vente à Drouot de sa collection en 2006, les 6 cahiers en 5 volumes du Journal manuscrit de Stendhal (lot 78 estimé à 600 000/ 800 000 euros) ont été préemptés pour la Bibliothèque d’étude de Grenoble sur des enchères qui se sont élevées à 800 000 euros (sans les frais de vente d’environ 15 pour cent). La veille de la vente monsieur Pierre Berès avait fait don à la France du lot 91: Édition originale de La Chartreuse de Parme interfoliée en 5 volumes (Estimation: 400 000/700 000 euros).

Revue de presse sur Internet:

http://afp.google.com/article/ALeqM5iMtR3y6yaV47i9ijDE66qaNQ0_Tg

http://www.cyberpresse.ca/article/20080731/CPARTS02/80731074/1050/CPARTS02

New York Times: http://www.nytimes.com/2008/08/03/world/europe/03beres.html

Un cahier manuscrit de Stendhal retrouvé

Un cahier manuscrit de Stendhal retrouvé

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Le petit fils de Paul Arbelet, propriétaire de ce cahier, a eu l’amabilité de nous communiquer une copie numérique de ce document dont on avait perdu la trace. En voici la présentation par son propriétaire:

« Il s’agit du cahier décrit dans les notes du tome IV du Journal des éditions Champion de 1934, à la page 251, classé par Romain COLOMB sous le n° 50 (1). Il est également reproduit dans Les Soirées du Stendhal Club, 2è série de 1908 (STRYIENSKI et ARBELET).

Ce manuscrit est resté dans l’état décrit par Auguste CORDIER, qui en était à priori propriétaire, puis qui l’a donné à Casimir STRYIENSKI, qui a donc du le céder à Paul ARBELET. »

(1) “N° 50 et 51 bis
Journal (original) du voyage que Beyle fit en Italie du 29 août au 27 novembre 1811
Tout ce qui se trouve dans ces cahiers a été mis au net dans les cahiers cartonnés en vert N° 50 et 51.
Commencement du voyage N° 51. De la page 33 à celle [chiffre caché par la reliure]
Fin du voyage N°50. De la page 99 à la page 196.”

On trouvera également l’historique de ce cahier par Victor Del Litto dans Stendhal Œuvres intimes I Pléiade p 1417-1421

Souriez à l’amour

« Souriez à l’amour »

C’est ce à quoi nous invite dans un duo, le plus sublime de tout l’opéra français, d’un autre H.B. né dans les environs de Grenoble et contemporain d’il nostro. Nous pouvons effectivement avoir le sourire : un fragment du manuscrit de De l’Amour entre dans les collections de Grenoble. Il s’agit du N° 170 des « Fragments divers » qui, quoique rédigé en 1820, ne figurait pas dans l’édition originale de 1822. Retrouvé par Romain Colomb dans les papiers de son cousin, il a été publié par lui pour la première fois dans l’édition Michel Lévy de 1853 (p. 297). J’ai pu en examiner l’autographe avant la vente et compte le publier, accompagné de quelques commentaires, dans la livraison de L’Année stendhalienne 2008. La prochaine édition de De l’Amour en cours de préparation par Xavier Bourdenet chez Garnier-Flammarion en intègrera bien entendu les variantes relevées. Passé en vente chez Christie’s Paris le 20 novembre, le précieux document a été heureusement préempté par la Bibliothèque de Grenoble. (Jacques Houbert)

Stendhal. Manuscrit autographe non signé.

Vente CHRISTIE’S Paris 20 novembre 2007

97. – STENDHAL (Henri Beyle, dit) 1783-1842. Manuscrit autographe non signé.
2 pages et demie in-4 (234 x 180 mm), encre brune. Traces de pliure, infimes rousseurs et bords légèrement jaunis.
INTERESSANT MANUSCRIT RELATANT UNE HISTOIRE GALANTE ENTRE UNE ESPAGNOLE ET UN OFFICIER FRANÇAIS ET QUE STENDHAL DESTINAIT A SON LIVRE DE L’AMOUR.
Selon une note manuscrite jointe, « cet article était destiné au livre De l’Amour et forme le fragment n° 170 (T 2, page 307 de l’édition de 1822). Pourquoi Beyle ne l’a-t-il pas imprimé en 1822 ? C’était bien cependant son intention, puisque par la note placée sur cette composition, il en demandait une copie […] ». En effet, dans l’angle supérieur gauche de la première page, Stendhal a écrit de sa main : « Fato una copia separata di questo foglio, sulla carta bianca ch’io si mando ». Cette note a été signée par Romain Colomb, exécuteur testamentaire de Stendhal, le 11 février 1854.
Ce fragment a effectivement été omis dans l’édition originale de De l’Amour. Il sera publié, avec une très légère variante, dans l’édition donnée par C. Lévy en 1882 (De l’Amour. Seule édition complète augmentée de préfaces et de fragments divers entièrement inédits, p. 297).
« Il y avait à Valence deux amies, femmes très honnêtes et des familles les plus distinguées. L’une d’elle fut courtisée par un officier français qui l’aima avec passion, et au point de manquer la croix après une bataille, en restant dans un cantonnement auprès d’elle au lieu d’aller au Quartier-Général faire la cour au Général-en-chef […] ».
€ 3.000 – 4.000 US $ 4.300 – 5 700 GPB 2 100 – 2 800.

Lettre autographe

STENDHAL (Henri Beyle, dit) [Grenoble, 1783 – Paris, 1842], écrivain français.
Lettre autographe signée « Dubois », adressée à sa sœur Pauline. Vienne, 29 novembre 1809 ; 4 pages in-4°. Il s’apprête à partir de Sankt-Pölten quand un de ses camarades lui propose un voyage à Vienne. « Pourquoi pas tout de suite ? Mais nous laissera-t-on passer sans ordre ni passeports ? Nous verrons. » Ils envoient chercher des chevaux de poste. « On nous en donne sans ordre. Nous partons à neuf heures et demie ; tout le long de la route, nous sommes arrêtés par nos postes ; moitié endormis, nous répondons en allemand ; on nous poursuit, on jure et nous avons quelque peine à les renvoyer. » Puis ils arrivent à la frontière autrichienne qu’ils franchissent après quelques difficultés. Ils retrouvent trois de leurs amis qui les informent : « l’empereur François II va aller à Saint-Étienne, pour assister à un Te Deum. Il est arrivé avant-hier dans une mauvaise calèche de poste, mais attelée de six chevaux blancs. » Arrivé au Palais impérial de Vienne, il a été vivement et longtemps acclamé par le peuple. Ils ne pouvaient garder leur uniforme français : « Arrivés ce matin chez nos camarades, il a été question de trouver des chapeaux ronds […]. Mais nul chapeau n’allait à ma grosse tête ; on déterre enfin un vieux claque de bal. » Ils se rendent vers le château pour distinguer « un petit homme grêle, figure insignifiante, usée, saluant d’une manière comique. François II porte un chapeau à trois cornes. » Ils se rendent ensuite à « à Saint-Étienne, magnifique église gothique » où après être entrés, ils entendent « Voilà encore un Français ! ». Stendhal distingue « Mme S..la plus belle femme de la ville. […] Il est heureux pour moi de voir, le dernier jour de mon séjour à Vienne, la femme la plus belle et l’évènement le plus remarquable. » François II arrive à l’église « l’air encore plus coinche, insignifiant, usé, fatigué : un homme à mettre dans du coton pour qu’il ait la force de respirer. […] Le Te Deum, que les premières mesures annonçaient cependant devoir être très beau, je suis venu me chauffer; je n’ai trouvé personne, et je t’écris tout chaud mon histoire pendant que le Te Deum dure encore. » 8000 €

Galerie ARTS ET AUTOGRAPHES
Jean-Emmanuel RAUX, expert
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tel.: 33 (0)1 43 25 60 48 – fax: 33 (0)1 40 51 03 98
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et aussi: http://www.franceantiq.fr/raux/

Lettre manuscrite en vente

Henri Beyle, dit STENDHAL (1783-1842) écrivain.

L.A.S. du pseudonyme « Ancel », Rome lundi 19 [octobre 1841], à son ami l’avocat Vincenzo SALVAGNOLI à la Pension Svizera à Livorno ; sur 1 page in-8 à son chiffre HB, adresse.
« Je serais au désespoir de vous faire attendre. Je ne pourrai partir par les bateaux de l’État. Je n’arriverai à Livourne que le 22 ou le 23 »… [Il s’agit du dernier retour de Stendhal en France : il quitta Civitavecchia le 20 octobre, pour arriver à Paris le 8 novembre avec Salvagnoli ; il y mourra le 23 mars 1842 sans avoir revu l’Italie.]

1 300,00 Euros

Consulter le site Les Autographes

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Un nuovo inedito stendhaliano in « Studi Francesi »

A. BOTTACIN, A. COLLET, Un nuovo inedito stendhaliano in « Studi Francesi », a. L, fasc. I, (janvier-avril 2006), pp. 101-118.

(Il s’agit d’une lettre inédite de la main de Stendhal que j’ai repérée aux Archives d’Empoli, près de Florence, que Stendhal a envoyée à Vincenzo Salvagnoli de Rome, à la date du 9 avril [1835]. En outre c’est la seule en notre possession écrite en réponse à un billet de M. Salvagnoli).
Madame Collet m’a beaucoup aidée à déchiffrer un texte souvent très difficile à lire.
(un tiré à part se trouve à la Bibliothèque Municipale de Grenoble)

A. Bottacin

Projet de réédition des Journaux et papiers de Stendhal

 

Equipe « Manuscrits de Stendhal »

Responsable : Cécile Meynard

Equipe Traverses 19-21 (Composante CESR, Directrice Marie-Rose Corredor)

Projet de réédition des Journaux et papiers de Stendhal

Enjeux scientifiques d’une réédition

L’acquisition de six cahiers manuscrits appartenant au corpus du « Journal » de Stendhal par la Ville de Grenoble lors de la récente vente Bérès (mardi 20 juin 2006) est venue compléter l’exceptionnel fonds de manuscrits déjà présent à la Bibliothèque d’études Lyautey. A l’exception de quelques documents détenus par des collectionneurs privés, on peut donc estimer qu’aujourd’hui on dispose de l’ensemble des papiers de Stendhal constituant ce que l’on a appelé le « Journal ».

Jusqu’à présent, ces six cahiers avaient été publiés par Henry Debraye et Louis Royer chez Champion en 1923-1924, et depuis n’ont plus jamais été mis à disposition des chercheurs : ainsi toutes les éditions suivantes se sont appuyées sur cette édition, sans possibilité de consultation des manuscrits. On imagine aisément l’intérêt d’une nouvelle édition qui tiendrait compte d’une relecture précise et rigoureuse de ces précieux documents.

Par ailleurs il est indispensable aujourd’hui d’intégrer cette édition dans un programme de réédition de l’ensemble du Journal – ou plutôt des journaux ? – de Stendhal. Et pour ce faire, une redéfinition du corpus est nécessaire. En effet ce fonds pour le moins hétérogène pose de nombreux problèmes, dont voici quelques exemples parmi les plus frappants :

– Il est nécessaire de remettre en question les choix effectués jusqu’à ce jour par les différents éditeurs, et en particulier la décision de Victor Del Litto pour le collections du Bibliophile et de la Pléiade de séparer « Journal littéraire » et « Journal » dans la mesure où Stendhal ne distingue pas toujours de façon précise les deux niveaux d’écriture : s’il est évident qu’on a du mal à considérer de simples notes de lecture comme faisant partie d’un journal à proprement parler, la question devient plus épineuse dès que Stendhal leur ajoute des considérations personnelles, même minimes. Inversement on trouve dans le « journal » tel qu’il est défini en Pléiade des considérations artistiques et comptes rendus de pièces de théâtre, etc. qui pourraient presque aussi bien figurer dans le « Journal littéraire ».

– L’édition actuelle introduit ainsi une fausse cohérence et une fausse continuité par un tri sélectif arbitraire dans cette masse de matériaux hétéroclites. On peut ainsi parfois constater la division d’un même ensemble textuel, qui est du seul fait de l’éditeur, à l’instar de certaines marginales de la Vie de Henry Brulard : la même note peut être coupée en deux, une partie jugée « intime » allant rejoindre le corpus du « Journal », l’autre partie figurant dans un objet construit par Victor Del Litto : le « Journal littéraire », qualification de commodité éditoriale qui n’est en réalité identifiée ni par les manuscrits ni par l’auteur… Le Journal étant conçu comme journal d’observation avant tout (le moi n’est alors au fond qu’un objet d’analyse parmi d’autres), il est difficile de séparer objectivement les réflexions théoriques et esthétiques des considérations sur la vie personnelle de Stendhal.

– A partir de 1813, la discontinuité devient presque systématique, sauf avec les journaux de voyage ; et après 1818, il n’existe objectivement plus de Journal, mais des notes marginales écrites sur des supports divers et sans lien entre elles. La notion de « Journal reconstitué » désignant cet ensemble postérieur à 1813 et forgée par Victor Del Litto est encore une fois significative de ce désir d’instaurer une continuité diariste que rien ne confirme dans les textes stendhaliens eux-mêmes.

– Par ailleurs se pose clairement la question du statut des notes diverses et marginales : faut-il les intégrer sans état d’âme à un « journal » de Stendhal, sachant que par leur nature même elles contreviennent au principe d’homogénéité du support et de continuité chronologique de l’écriture… ? Et quand il existe des marginales en parallèle d’un « journal » tenu de façon continue par Stendhal, faut-il les insérer dans les pages de ce journal, pour respecter à tout prix la chronologie d’écriture, alors qu’elles introduisent objectivement une hétérogénéité dans un propos cohérent ?…

– D’autre part, certains papiers actuellement intégrés au journal (notes de frais, pense-bêtes…) semblent assez peu mériter cette qualification. Inversement, d’autres papiers actuellement édités sous d’autres intitulés que le Journal mériteraient peut-être d’y figurer.

– La question de la définition par Stendhal lui-même de ses écrits mérite aussi d’être prise en compte : chaque fois qu’il fait un séjour ou un voyage quelque part, il indique comme titre « Journal de mon séjour à… », « Journal de mon voyage à … ». C’est bien la preuve que lui-même considère qu’il écrit des Journaux, et non un seul journal conçu comme un tout homogène. Et par ailleurs, l’idée même de journal est souvent associée à celle d’un déplacement dans l’espace.

– Autres problèmes qui se posent : un passage de journal de voyage peut devenir embryon de récit de voyage, un extrait de journal servir de matériau littéraire pour des textes théoriques comme l’Histoire de la peinture en Italie… Et certaines pages sont écrites à plusieurs mains (avec Crozet, Faure…), ce qui remet en cause la notion de « journal intime ».

Bref, il s’agit d’un projet scientifique d’envergure, et cette nouvelle édition doit impérativement commencer par une redéfinition honnête, rigoureuse et sans parti pris du corpus. Ce projet de longue haleine ne pourra se réaliser qu’après identification et résolution de tous ces problèmes (ou du moins choix éditoriaux conscients de leur arbitraire mais argumentés) par l’Equipe « Manuscrits », en utilisant les moyens modernes et les possibilités offertes par les nouvelles technologies. Il s’agit de fournir une édition savante de référence – et qui de ce fait soit largement diffusée – de cette partie problématique de l’œuvre de Stendhal. Les ELLUG ont été contactées, et ont donné un accord de principe pour fournir cette édition, qui sera accompagnée d’un appareil critique conséquent.

Une édition électronique de ces Journaux est enfin envisagée, pour permettre un reclassement virtuel des registres de manuscrits, l’accès aux pages numérisées et à leur transcription ainsi qu’à diverses informations sur les pages, les scripteurs, la taille des feuillets… L’intérêt serait aussi de pouvoir confronter les pages, et a fortiori les marginales de Stendhal, à leur intertexte (presse, ouvrages scientifiques, essais, romans de l’époque, parfois aujourd’hui peu connus ou difficilement accessibles…) A cet égard des liens ont été mis en place avec l’ITEM et l’ICM (Institut de la Communication et des Médias) pour la réflexion théorique et avec le laboratoire LIDILEM (Linguistique et Didactique des Langues Etrangères et Maternelles) et le DIP (Département d’informatique pédagogique) pour la réalisation pratique. Un prototype de base de données sera mis en ligne au printemps sur le site de la MSH-Alpes.

Séminaire de travail de l’Equipe « Manuscrits de Stendhal »

Un séminaire, organisé avec le soutien du Cluster 13 (Région rhône-Alpes) et de l’ITEM (Institut des Textes et Manuscrits Modernes, Paris) a été mis en place pour organiser ce travail d’édition.

1) Principe du séminaire :

C’est un séminaire de travail collectif en vue de la réédition des Journaux et papiers de Stendhal et de l’alimentation de la base de données « Manuscrits » (mise en ligne prévue au printemps 2007). Il est ouvert à toute personne intéressée par une réflexion sur l’édition de manuscrits.

2) Planning des séances de travail

le 9 février : salle C008, rez-de chaussée du bâtiment C, Université Grenoble 3-Stendhal. (définition du corpus, ateliers de travail sur des échantillons)

le 9 mars :

-salle C008, rez-de chaussée du bâtiment C, Université Grenoble 3-Stendhal (1h)

-puis salle I 108 (à confirmer) pour la formation xml (2h)

le 27 avril : salle de réunion, 2ème étage, Maison des Sciences de l’homme-Alpes

le 1er juin : à Paris (salle à définir avec l’ITEM)

L’ordre du jour des séances du 27 avril et du 1er juin sera précisé ultérieurement.

Contact :

Cécile Meynard

Maître de Conférences, Université Grenoble 3-Stendhal

cecil.meynard@laposte.net