HB Revue internationale d’études stendhaliennes N°11-12 /2007-2008

HB Revue internationale d’études stendhaliennes
N°11-12 /2007-2008

EUREDIT

Sommaire

Dossier
Stendhal, Mérimée et les écrivains romantiques : le sang, la violence et la mort. Textes réunis par Michel Arrous
Max Andréoli, « Visions romantiques de la Terreur » ; Sylvain Ledda, « Représenter la mort sur la scène romantique : enjeux et polémiques » ; Merete Gerlach Nielsen, « La violence et la mort chez quelques écrivains danois ou Mérimée en Danemark » ; Marie Makropoulou, « La Vie errante ou la prescience d’une mort heureuse » ; Claudie Bernard, « Des loups et des hommes : l’expression de la justice dans Madame Putiphar de Pétrus Borel le lycanthrope »; Fabienne Bercegol, « Des Natchez aux Martyrs : violence de l’éros dans l’œuvre de Chateaubriand » ; Christine Marcandier, « Le Gai savoir romantique de la violence (Mérimée, Stendhal) » ; Jacques Birnberg, « Les Cenci au confluent des légendes, des mythes et des thèmes romantiques » ; François Géal, « Une poétique du saisissement : les derniers instants du condamné à mort dans la IIe lettre d’Espagne (« Une exécution ») ; Thierry Ozwald, « La Chronique du règne de Charles IX : névrose individuelle et psychose collective » ; Hélène Spengler, « Barbarus hic ego sum quia non intelligor illis. Stendhal ou l’autre romantisme » ; Clarisse Réquéna, « La corrida : une tragédie romantique ? Prosper Mérimée à cinq heures de l’après-midi » ; Joseph-Marc Bailbé, « Le Don Juan de Mérimée : la violence et le sacré » ;   Andrée Mansau, « Tombes de femmes à Rome » ; Suzel Esquier, « La Mise en scène de la mort dans l’opéra Otello de Rossini et ses résonances stendhaliennes » ; Liliane Lascoux, « Les Registres de l’excès dans Carmen, de Mérimée à Bizet » ; Fanny Bérat-Esquier, « Baudelaire et Stendhal critiques d’art autour de la figure de Delacroix : le « sauvage » en peinture »
Varia
Jean-Jacques Hamm, « Religion et athéisme chez Stendhal : langue, discours, formes » ; Ferdinand Collier, « Le Transfert beyliste de Nietzche » ; Andrey D. Mikhaïlov, « La Dame de pique de Pouchkine traduite par Prosper Mérimée » ; Marthe Peyroux, « Mozart à Salzbourg »
Notes
Jacques Dubois, « Érotique et politique dans les romans de Stendhal » ; Clarisse Réquéna, « Vie et destin de Colomba Carabelli-Bartoli » ; Elisabeth Catala-Blondel, « Être sur l’œil » ; Elisabeth Scheele, « In memoriam. Michèle Morançay-Vaillant ».

Mérimée-Stendhal de Michel Crouzet

Michel Crouzet

MÉRIMÉE-STENDHAL

Roman. Nouvelle.

EUREDIT

568 p. Prix public France : 70 euro ttc

Michel Crouzet a rassemblé ici des études écrites à des époques différentes et sans projet cohérent, mais qui ont exploré le compagnonnage de Mérimée et de Stendhal, unis par leur perception commune d’un malaise de la civilisation.
La poésie pour Mérimée est incompatible avec la vie moderne, elle se heurte à la passion du savoir chez l’écrivain lui-même, qui dans ses nouvelles concilie les droits de la fiction et ceux de la science. Avec Octave de Malivert, Stendhal fait du mal du siècle une souffrance de l’âme et du corps qui est symptomatique de la modernité. Comme l’est dans Colomba l’inégale densité d’être et d’énergie qui distingue les représentants de la civilisation des Corses régis par leurs coutumes ancestrales.
Stendhal dans ses derniers récits (comme Mérimée des ses nouvelles françaises), devient le romancier de la platitude démocratique, que vient ravager la gaieté tragique des héroïnes capricieuses, Lamiel et Carmen.

Professeur émérite à l’Université Paris IV-Sorbonne, Michel Crouzet est un grand spécialiste de Stendhal auquel il a consacré de nombreux ouvrages qui font autorité. Grand Prix de la Critique de l’Académie française, 2008.
Il est rédacteur en chef de la revue HB., revue internationale d’études stendhaliennes.

L’écriture stendhalienne et les défis du Je

En vente sur le site des Editions Connaissances et Savoirs 

Hors-collection

L’écriture stendhalienne et les défis du Je
Edwige Thomas
688 pages; ISBN 978-2-7539-0041-7
11.09.2008
32,00 €
Cet ouvrage reprend les deux tiers de la thèse de Doctorat de l’auteur. Les analyses portent essentiellement sur les textes à la première personne mais les romans sont aussi convoqués dans la mesure où la première personne apparaît dans des « îlots de sauvegarde ».
Stendhal se détourne des genres majeurs de son siècle. Correspondance, journaux, mémoires sont des pratiques en marge qu’il s’approprie tout particulièrement. La vigilance discursive dont il fait preuve dans tous ses textes montre comment une voix s’impose sans endosser de véritable responsabilité. Cette voix montre aussi comment le recours à la fiction est inévitable pour se dire. Ses stratégies du détour se multiplient, afin de se dévoiler à sa convenance. Le texte a du jeu, au point parfois de convoquer une « quatrième personne du singulier » qui engloberait divers pronoms, différents pseudonymes et pourrait se formuler en de multiples langues. Mais toujours la première personne surgit, dans une stratégie d’ostentation et d’évitement, révélant un profond désir d’existence. Pour être pleinement, les dessins autographes, aussi maladroits soient-ils, fixent le passé et laissent Henri Beyle-Stendhal se retrouver et s’accepter.
À partir de l’observation minutieuse et patiente des marques de la première personne et de soi dans les écrits de Stendhal, les différentes tentatives de ce dernier pour se sentir être pleinement au monde se complètent. La posture éthique importe plus que la dimension esthétique chez cet auteur. C’est alors une voix unique et chatoyante qui se livre et marque à défaut de s’imposer en continu. La complexité de l’écriture en devenir appelle à elle des analyses littéraires, linguistiques, génétiques, psychologiques, philosophiques. L’autobiographe est redéfinie et tous les modes d’expression de soi sont évalués.
Après des études universitaires à Poitiers, Edwige Thomas a entrepris un Doctorat sous la direction de Serge Sérodes, puis de Francis Claudon, à l’Université de Paris XII. Depuis la soutenance de sa thèse, elle a obtenu l’agrégation. La stylistique reste son domaine de prédilection. Elle enseigne actuellement dans un collège de Poitiers.

De l’hypertexte au manuscrit

De l’hypertexte au manuscrit
L’apport et les limites du numérique pour l’édition et la valorisation de manuscrits modernes

 

Recherches &Travaux n° 72 / 2008
ISSN 0151-1874    ISBN   978-2-84310-125-0

Prix 13 euros

Ellug / Revues (Editions Littéraires et Linguistiques de l’université de Grenoble)
Université Stendhal-Grenoble 3 ; BP 25
38040 Grenoble Cedex 9
tél. : 04 76 82 43 75 : fax. 04 76 82 41 12
pour consultation du catalogue et commande
http://w3.u-grenoble3.fr/ellug/index.html/

Préface
La littérature à venir
Michel Lafon

Introduction
De l’hypertexte au manuscrit : le manuscrit réapproprié
Françoise Leriche
Cécile Meynard

ASPECTS THÉORIQUES

La prééminence du document dans l’édition
Hans-Walter Gabler

Les manuscrits bilingues de Beckett : la combinaison des approches « documentaire » et « textuelle » dans une édition numérique
DirkVan Hulle

Quelle édition pour quel public ? Les avatars de l’édition électronique de la correspondance de Proust
Françoise Leriche

Approche des problématiques du texte d’écran : la création du sens et le lecteur
Caroline Angé

PRÉSENTATION D’OUTILS

L’édition de manuscrits au prisme du paradigme instrumental Arcane
Éric-Olivier Lochard

Manuscrits de Stendhal.De la base de données à la base documentaire : le projet CLELIA
Thomas Lebarbé
Alexia Blanchard
Cécile Meynard

De MUSE en ARGOLIDE, ou la codicologie à l’ère du numérique
Claire Bustarret
Serge Linkès

COMPLÉMENTARITÉ OU CONFLIT ENTRE ÉDITION IMPRIMÉE
ET ÉDITION ÉLECTRONIQUE

Éditer un cahier de travail de Montesquieu : les apports du numérique et de laTEI
Pierre-Yves Buard
Carole Dornier

D’Hypo-Proust en Hyper-Proust ? Les « brouillons » imprimés de l’édition électronique
Nathalie Mauriac Dyer

Réflexions sur la complémentarité des éditions numérique et papier
L’exemple d’Histoire d’Espagne
Cécile Meynard

Éditer le manuscrit inachevé : vraies et fausses vertus du numérique
Serge Linkès

Comment vivre ensemble de Roland Barthes : vie et mort d’un site littéraire
Claude Coste

Le vivre et mourir en ligne du Vivre ensemble de Roland Barthes
Guillaume Bellon

LE CHOIX DE L’ÉDITION ÉLECTRONIQUE

L’édition intégrale en ligne des manuscrits de Madame Bovary
Yvan Leclerc

Apports et limites du numérique dans la transcription des manuscrits de Madame Bovary
Danielle Girard

Essai de traitement électronique d’une constellation de manuscrits : de Mina deVanghel à Rose et Vert (Stendhal)
Daniel Ferrer
Maria-Ignez Mena Barreto
Jean-Jacques Labia

Stendhal ou l’écriture palimpsestique : feuilletage génétique et jeux intertextuels à l’oeuvre dans la Vie de Napoléon de
Stendhal
Hélène Spengler

L’île des savoirs choisis.D’Hyper Nietzsche à Scholar Source
Paolo D’Iorio

Michel Crouzet: Stendhal et l’Amérique. L’Amérique et la modernité

Stendhal et l’Amérique. L’Amérique et la modernité

Michel Crouzet

Éditions De Fallois

Paris Avril 2008

260 pages

Prix TTC : 22 euros

978-2-87706-642-6 / Ean 13 : 9782877066426

Qui a résumé les États-Unis dans cette étonnante formule, «ce pays singulier, où l’homme n’est mû que par trois idées l’argent, la liberté et Dieu »? C’est Stendhal qui, en 1830, a proposé ce mot qui pourrait figurer comme devise aufronton de la Maison Blanche. Formule définitive: la plus ancienne des grandes démocraties orne son billet d’un dollar d’une invocation divine. Dieu est américain, comme le dollar et la liberté.

Stendhal est lié à l’Amérique, où il n’a jamais mis les pieds, malgré des projets de voyage, par des liens constants qui ont duré toute sa vie. Pour lui l’Amérique existe, il l’observe et la juge, il lui consacre des allusions innombrables, des textes peu connus qui sont cités abondamment dans ce livre. L’Amérique lui inspire à la fois admiration et aversion. A l’Ouest il y a quelque chose de nouveau, la liberté et le bonheur: moralement, Stendhal là-bas est chez lui. Mais le dollar est aussi le dieu de l’Amérique qui réduit Dieu à une bien pauvre présence.

Dans l’univers de Stendhal, l’Amérique est le pôle de la modernité et elle fait face au pôle de l’anti-modernité, l’Italie. Michel Crouzet, qui a consacré un livre à l’italianité stendhalienne, explore ici le versant opposé du stendhalisme, la civilisation régie intégralement par la modernité, née moderne, vivant dans la liberté des modernes, qui révèle pour le romantique l’incompatibilité avec tout ce qui peut définir la culture.

Professeur émérite à l’Université Paris IV-Sorbonne, Michel Crouzet est un grand spécialiste de Stendhal auquel il a consacré de nombreux ouvrages qui font autorité.

À lire sur Internet: article de Marc Fumaroli dans le Point du 22/05/2008 N°1862

L’Image du Nord chez Stendhal et les romantiques 4

L’Image du Nord chez Stendhal et les romantiques volume 4

Texte réunis par Kajsa Andersson

Humanistica Oerebroensia. Artes et linguae nr 13

http://www.ub.oru.se

470 p.

32 euros

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Ce volume, suite d’articles consacrés à l’Europe du Nord, répond à une remarque faite par le Professeur Michel Crouzet. « Le grand dualisme Nord-Midi si profond dans le romantisme européen et plus généralement dans le XIXe siècle instaure une vision de l’homme fondée sur la différence ».
C’est ainsi qu’un certain nombre de romans, de nouvelles, de poèmes de cette époque s’appliquent à montrer, à démontrer, l’affrontement ou l’union des différences Nord-Sud si importantes qu’on peut les retrouver au-delà de l’Europe jusqu’en Amérique, voire les découvrir entre l’Orient et l’Occident. Cet état de fait a servi de socle à la majorité des textes répondant à la question thématique posée.
Vous allez donc découvrir des voix contemporaines venues du Nord, du Sud, de l’Ouest, de l’Est de l’Europe, chacune soucieuse de mettre en évidence, avec son bagage spécifique, cet antagonisme, mieux de l’analyser au moyen d’illustrations littéraires empruntées au XIXe siècle. La conclusion ne fait pas de doute. L’Europe du Nord se caractérisait par une originalité pressentie intangible par certains rédacteurs des articles.

On peut se procurer cet ouvrage en prenant directement contact avec madame:

KAJSA ANDERSSON
Stryrmansgatan 37
SE- 1144 54 STOCKHOLM

Mail: kajsa_andersson2001@yahoo.se

 

CD La Chartreuse de Parme Lu par Guillame Gallienne

 

Stendhal

La Chartreuse de Parme

Lu par Guillaume Gallienne

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1 CD, 25,00 €
Éditions THELEME
1 CD – MP3 – 8h 10 d’écoute
TEXTE ABRÉGÉ

La Chartreuse de Parme a pour décor l’Italie si chère à Stendhal. La Sanseverina possède toutes les dimensions de la femme amoureuse et objet d’amour passionné, tandis que le héros, Fabrice del Dongo, est un enfant béni des Dieux, mais son esprit fougueux et son âme sentimentale vont mener à un destin tragique.

Collection Littérature

N°843 / ISBN : 2878625404

 

RAPPEL

STENDHAL

Le Rouge et le Noir

LU PAR MICHEL VUILLERMOZ

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1 CD – MP3 – 6h 20 d’écoute
TEXTE ABRÉGÉ

Le Rouge et le Noir est l’un des romans français les plus connus et les plus traduits. L’histoire de Julien Sorel dont la sensibilité oscille entre le sublime de la religion et la gloire militaire sera finalement guidée par les femmes et le hasard des rencontres.

N°842 / ISBN : 2878625390

Familles Gagnon

Fondateur de l’Association des Familles GAGNON de France en 1988, Claude Gagnon prépare actuellement le 3e tome du livre « Gagnon, Gaignon, Gangnon de France » consacré pour un tiers, soit une centaine de pages, à STENDHAL, sa famille maternelle GAGNON, et aux Gagnon (Gaignon, Ganhoni, Gagnoni) de Provence, du Comtat Venaissin, du Languedoc et du Roussillon.
Les deux premiers tomes de ce livre ont d’ores et déjà été déposés à la Bibliothèque municipale « Lyautey » de Grenoble en 2006, faisant suite à l’envoi en 2004, aux Fonds « STENDHAL » et « Dauphinois », du fascicule « Gagnon de Provence et du comtat Venaissin ».

Stendhal, les romantiques et le tournant de 1830

Stendhal, les romantiques et le tournant de 1830

Actes du colloque international de Paris 10-11 mars 2006

Études réunies par Michel Arrous

Paris, Eurédit, 2008, 14×20,5 cm, 234p.

ISBN: 2-84830-109-0

Prix public France 45 euros ttc

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1830 fait date. Année qui a vu se correspondre une révolution politique et une révolution littéraire. Quels rapports s’établissent alors entre la crise sociale et politique et la mise en question d’une littérature en proie à un deuxième « mal du siècle » ? Cette littérature du désenchantement -qui ne regroupe pas que des désillusionnés – est une littérature de la crise (Le Rouge et le Noir; La Peau de chagrin); elle se régénère par l’ironie – le « je ne sais quoi d’ironique et de narquois » décelé par Balzac dans le roman de Stendhal – aussi bien que par la dénonciation des excès du Romantisme venue d’un aîné et d’un inspirateur comme Nodier, ou par la parodie et, surtout, le renouvellement des thèmes et des formes. Cette littérature de la crise est la marque du « Romantisme de 1830 ». On a voulu la saisir et la comprendre à partir de Stendhal, en amont mais aussi au-delà de lui, en suivant le « tremblement » de Juillet jusqu’aux années 1835-1836. L’attention s’est portée sur les grands textes représentatifs et sur le récit excentrique, sur le regain de la nouvelle et du récit bref et, nécessairement, sur l’école du désenchantement dont l’interrogation permet de mieux situer ce deuxième Romantisme, à partir, entre autres exemples, du constat et des postulations d’un Balzac à la recherche d’un Romantisme critique de la réalité post-révolutionnaire. Sans exclusive aucune, ni de genre (nouvelle, roman, théâtre, opéra, caricature), ni de perspective ou de méthode, en convoquant toutes les spécialités (littérature, philosophie, histoire, histoire de l’art).

Trois poètes de leur vie. Stendhal, Casanova, Tolstoï

Trois poètes de leur vie. Stendhal, Casanova, Tolstoï

Stephan Zweig, Alzir Hella (Traducteur)

GUTENBERG

978-2-352-36019-3 / Ean 13 : 9782352360193

359 pages

 

Trois poètes de leur vie (1928) est la dernière des trilogies conçues par Stefan Zweig comme éléments des Bâtisseurs du monde, vaste  » typologie de l’esprit  » consacrée à divers modèles exemplaires de génies créateurs, étudiés selon une  » méthode comparative  » qui permettra d’accuser les reliefs.
Cet ouvrage confronte des écrivains voués comme par nature à l’autobiographie : Stendhal, Casanova et Tolstoï, qui ont fait de leur propre existence leur sujet de prédilection. Ils ont en commun, entre eux et avec Zweig, d’être des  » figures qui passent leur vie à se scruter elles-mêmes « . Ils ont laissé trois autobiographies dont Zweig veut  » essayer de fixer la véracité et le mensonge « , compte tenu de cette contradiction : seul le poète peut parvenir à la connaissance de soi ; mais, justement, le poète est voué à transformer cette connaissance.
La poésie va-t-elle servir la vérité ou la travestir ? Usant de cette empathie dont il est un maître, Stefan Zweig révèle en ces écrivains des personnages aussi problématiques que ceux de ses œuvres de fiction. En une réflexion approfondie, nourrie par l’expérience, il explore pourquoi et comment des auteurs désireux de perpétuer leur souvenir par l’écriture ou de  » s’analyser pour se connaître  » sont irrésistiblement entraînés vers  » le plus dangereux  » de tous les genres littéraires.
Serge Niemetz.