STENDHAL ET L’EROS ROMANTIQUE : TRADITION ET MODERNITE HB N°13-14

HB Revue internationale d’études stendhaliennes, n° 13-14,
2009-2010

EUREDIT euredit@yahoo.fr

DOSSIER

STENDHAL ET L’EROS ROMANTIQUE : TRADITION ET MODERNITE

Actes du Colloque des 27 et 28 mars 2009

Textes réunis par
Michel Arrous

La création de Don Juan à l’Opéra de Paris. Prémices d’une esthétique musicale de l’amour, par Laurent Marty (Université Paul Sabatier, Toulouse). Le langage paradoxal de l’éros dans le roman stendhalien, par Pierrette Pavet (Paris). Lélia « Bifrons », entre 1833 et 1839 : De « L’Eros romantique de la désespérance » à la « sublimation spiritualiste », par Liliane Lascoux (C.R.L.C. Paris-Sorbonne, Paris IV). A propos de Gösta Berling, ou la métamorphose d’un héros romantique, par Kajsa Andersson (Université d’Örebro – Suède). L’amour et l’imagination créatrice : modelage du type de l’Amazone chez Stendhal, par Nobuhiro Takaki (Université Kyushu – Japon). Le Déjeuner sur l’herbe selon Manet et Picasso. La question du nu, par Suzel Esquier (C.R.R.R. Université de Clermont-Ferrand). Les Confidences de Nicolas, par Françoise Guinoiseau (IUFM, Lyon). Clytemnestre innocentée, par Marthe Peyroux (Paris). Erotisme et orphisme chez Victor Hugo, par Romain Vignest (Lycée Edouard Branly, Dreux). Les Martyrs de l’Eros : généalogie d’un motif érotique, par Nicolas Perot (Lycée Malherbe, Caen). L’Eros russe : le sublime et le sensuel dans la littérature romantique et postromantique, par Elena Saprykina (Institut de littérature mondiale, Académie des Sciences de Russie). Le ridicule et les âmes tendres : la rationalité affective chez Stendhal, par Isabelle Pitteloud (Université de Genève). Tyran espagnol prosaïque contre un Eros christique damnateur (Le Coffre et le Revenant. Aventure espagnole), par Andrée Mansau (Université de Toulouse-Le Mirail). L’Eros romantique et le libertinage : à propos d’Adolphe, par Michel Brix (Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix, Namur). Dominique ou la fin de l’Eros, par Patrick Labarthe (Université de Zurich). « Les Enfants du Paradis », par Serge Linkès (Université de La Rochelle). Stendhal et la modernité érotique, par Alexandra Pion (Université de Paris XII). Lucien Leuwen : un éloge de la vertu, par Thierry Ozwald (IUFM, Antilles)

VARIA

Mémoires d’un touriste : digression en faveur d’ « un grand homme », par Marthe Peyroux. Politique et/ou poétique de l’esquive, par Françoise Guinoiseau. Stendhal et Andersen à Genève, par Merete Gerlach Nielsen. Etre ou avoir : Féder ou le mari d’argent, par Pascale Mc Garry. Holmes et Mérimée, Elsie Venner et Lokis, par Clarisse Réquéna. Callirhoé de Maurice Sand et La Vénus d’Ille de Mérimée, par Clarisse Réquéna. Je ne veux jamais l’oublier de Michel Déon, ou l’Eros et la Beauté, par Maria Zani.

NOTES

Une nouvelle traduction du Rouge et le Noir en japonais (Akemi Yamamoto). Précision sur le nom de Katzenellenbogen dans Il Vicolo di Madama Lucrezia de Prosper Mérimée(Clarisse Réquéna). Stendhal auditeur au Collège de France et lecteur de bibliothèques (Elisabeth Scheele). Après La Princesse de Clèves, La Chartreuse de Parme ( Michel Crouzet).

In memoriam

JOSEPH-MARC BAILBÉ

Stendhal littéral Lamiel

 

STENDHAL LITTERAL

Lamiel

Yves Ansel

Grenoble : ELLUG, coll. « Bibliothèque Stendhalienne et romantique », 2009.

ISBN : 978-2-84310-142-7
ISSN : 1294-0658
Juillet 2009
216 p.
Prix : 22 € (+ frais de port)

Lamiel est la dernière grande fiction de Stendhal, laissée en plan(s) par la mort de l’auteur en 1842. Lamiel, dont l’intrigue se déroule dans les dernières années de la Restauration et le début de la monarchie de Juillet, est aujourd’hui encore un roman très méconnu, et pour des raisons qui ne tiennent pas seulement à son inachèvement. C’est à une réévaluation de cette oeuvre déconcertante que s’attache la présente étude.

Beaucoup moins réaliste que Le Rouge et le Noir, Lamiel, rétrospective « chronique » des temps assez peu historique, conte la destinée d’une héroïne qui monte de Normandie à Paris, sans daigner écouter les innombrables sermonneurs qui lui veulent du bien. Tôt affranchie par le singulier et lucide docteur Sansfin, amorale, avant tout respectueuse de sa sacro-sainte liberté — « Ne suis-je pas maîtresse de moi ? » est la phrase qui résume son credo existentiel et éthique —, Lamiel emprunte des chemins non balisés, fait scandale parce qu’elle trace sa propre route. De là à faire de cette rebelle une féministe avant l’heure, il n’y avait qu’un pas, souvent allègrement franchi. À tort ou à raison ? Les réponses sont dans le(s) texte(s).

Obstinément attaché à la lettre, s’interdisant soigneusement toute « textrapolation » inspirée, se gardant de toute dérive historique, thématique ou symbolique, dans un langage délibérément simple, Stendhal littéral, Lamiel se veut une (re)lecture précise, rigoureuse, contrôlable, de l’ultime grand roman de Stendhal.

Recherches & Travaux n°74 : Le ton Stendhal

 

Recherches & Travaux, n°74 : Le ton Stendhal

Grenoble : Éditions littéraires et linguistiques de l’université de Grenoble, juillet 2009, 198 p.

ISBN : 978-2-84310-146-5

Prix : 13 €

La notion de « ton » est généralement délaissée, dans les études littéraires, abandonnée au registre impressionniste ou métaphorique, et s’en trouve par conséquent mal famée. Paul Valéry en fit pourtant la clef de la poétique stendhalienne. Quelle réalité ce terme improprement théorique, héritier de la « manière » et du « je-ne-sais-quoi », et plus rétif à la description que la question du style, recouvre-t-il, et particulièrement dans le cas de Stendhal ? C’est ce que les différents articles tentent ici d’explorer en envisageant la question dans plusieurs de ses dimensions : le recueil comporte ainsi des réflexions générales sur le concept de ton (son statut trans-esthétique, ses différentes ententes, sa relation au style…), il compte aussi des examens plus rapprochés de textes stendhaliens (sur le ton des incipit, dans le discours intérieur…) ainsi que études sur les fonctions et usages de la notion : les rapport ton/théâtre, le stratégie rhétorique, les registres (le fantastique, le « mauvais ton »…).
Sommaire :

Philippe Jousset, « Le ton Stendhal : postures, allures, textures ».

DU TON EN GÉNÉRAL ET DU RYTHME EN PARTICULIER
François Vanoosthuyse, « Le ton du texte : une aporie poétique ? » ;
Éric Bordas, « En majeur ou en mineur ? Tonalités et modalités des incipit romanesques stendhaliens » ;
Philippe Jousset, « L’économie du ton. Réflexions à partir des premières pages de Lucien Leuwen » ;
Karin Gundersen, « Les tilleuls du ministère de la Guerre ».

UN THÉÂTRE INTIME
Agathe Novak-Lechevalier, « Le ton du roman stendhalien : un anti-théâtre ? » ;
Marie Parmentier, « « Le ton le plus individuel qu’il soit en littérature ». De la singularité sublime à l’efficacité rhétorique » ;
Laure Lassagne, « Ton du discours intérieur dans les romans de Stendhal ».

LE MAUVAIS TON
Daniel Sangsue, « Stendhal fantastiqueur » ;
Georges Kliebenstein, « Stendhal et le scandale tonal : le déton(n)ant et le bêlant » ;
Pierre Laforgue, « Le mauvais ton de Stendhal. Les comptes rendus du Rouge et le Noir en 1830-1831 » ;
Georges Mathieu, « Stendhal pornographe ! ».

Stendhal Filosofia Nova. Pensées. Marginalia

Stendhal 

Filosofia Nova. Pensées. Marginalia

«Nos passions et par conséquent nos états ?de passion ne sont pas volontaires. Elles sont la cause et non pas l’effet de la volonté. — Nos volontés suivent nos opinions, voilà bien la tête influant sur l’âme ou le cœur. De quelle manière ? Et quand ? — Quand j’aurai bien décrit la tête et le cœur, il ne me restera plus que ce problème à résoudre pour avoir achevé de trouver les idées de la filosofia nova

«L’homme vit d’après ce qu’il croit être et non point d’après ce qu’il est véritablement.»

«On ne peut pas au moment où l’on produit avoir pour ce qu’on fait la nuance d’admiration que donnent les beautés des autres qu’on rencontre et où il entre toujours une nuance d’imprévu. Faute de cette vérité, […] j’ai été souvent découragé.»

La présente édition reprend en un seul volume les 1275 pages publiées en quatre tomes par Henri Martineau dans la collection Le Divan au cours des années 1930. Maints écrits de Stendhal, sinon des œuvres entières (Armance, le Rouge et le Noir…) apparaissent comme des narrations méditatives, tissées de notations psychologiques et d’aphorismes saisissants: d’un personnage à l’autre et au cours des situations changeantes qu’ils traversent, l’auteur incarne ses points de vue, ses contradictions, poursuit une réflexion unique sur des possibilités multiformes. Surchargeant les marges de ses lectures, de ses propres livres ou ses manuscrits mêmes de traits en pointillés in?nis, Stendhal constitua ce qu’il appella son « magasin », le monde où puiser les aliments caractéristiques de ses héros passionnels, de leurs déchirements et de leurs péripéties. Cette somme se constitua en plus de quarante ans de rêveries, de souffrances, d’observation ironique et faussement mondaine – pour se protéger et se désennuyer. Ainsi, ses esquisses d’une «philosophie nouvelle» recherchée dès l’abord (le titre est de Stendhal), de ses aperçus, de ses critiques littéraires (admiratives ou non), suggère une solution de continuité entre les œuvres «achevées» et l’écriture quotidienne qui les nourrit, comme elle nourrit les biographies empruntées, les récits de voyages fréquemment pastichés. Alors se découvre la somme, la création dans son ensemble.

35,00 €  Prix TTC,  frais de livraison compris

Texte établi par Henri Martineau

Fac-similé des éditions publiées par Le Divan (Paris) en 1931 et 1936, remis en pages dans un grand format dont chaque page comporte quatre pages des volumes originaux (1275 p.).

334 pages, 180 x 270 mm, broché, disponible
Juillet 2009. isbn 2-84505-083-6 – ean 9782845050839

SOURCE: Éditions Ressouvenances  http://www.ressouvenances.fr/epages/62046842.sf/fr_FR/?ObjectPath=/Shops/62046842/Products/154

ARMANCE, OU LA LIBERTE DE STENDHAL

 Armance ou la liberté de Stendhal

Jean-Jacques HAMM

Ce livre propose une lecture des multiples facettes d’un roman qui longtemps a été déconsidéré par la critique, qui longtemps a été lu à partir, ou contre la lettre de Stendhal à Mérimée, censée fournir la clé de l’histoire et du héros. Armance, œuvre où le secret du héros devient le secret du roman, s’organise autour d’un vide central. Stendhal écrit par strates, plus ou moins développées, plus ou moins permanentes. À la question de l’identité du héros, d’un livre, d’un auteur, question du « Que diable es-tu ? », toute réponse univoque est contrecarrée par la difficulté ou l’impossibilité d’une clôture du sens. Ce travail se situe dans la lignée d’une poétique des textes, concernée à la fois par la question de l’organisation interne d’une œuvre et par la relation de celle-ci à un contexte d’histoire et de réception. Tout en faisant le point sur les lectures du roman, il propose de montrer dans son interprétation la richesse, l’innovation et la liberté que Stendhal apporte à une œuvre-synthèse d’une forme nouvelle. Notre auteur, tenté par une écriture paradigmatique, analogique, déstabilise son propos afin d’entraîner le lecteur dans ce qu’il appelle, en un autre lieu, une conversation infinie.

CHAMPION PARIS 27/05/2009 Collection Romantisme et Modernité 280 pages Relié 55 euros

ISBN 9782745318077 EAN 9782745318077

Michel Crouzet La Poétique de Stendhal

  Slatkine Reprints

Michel Crouzet
La poétique de Stendhal.

Forme et société. Le sublime (Essai sur la genèse du romantisme I)
Réimpression de l’édition de Flammarion, 1983
1 vol., 336 p., broché, 15 x 22 cm. ISBN 978-2-05-102068-8. 47

 

Cet ouvrage s’efforce à partir du cas de Stendhal, étudié dans ses débuts littéraires, ses premiers essais, de définir les modalités de la naissance du « romantisme ». Quand, comment, pourquoi, le jeune apprenti littéraire de l’époque du Consulat, entre-t-il dans le romantisme ou dans la culture du romantisme si l’on veut élargir le débat au-delà des strictes dimensions d’histoire et d’école. II s’agit donc, au travers des aventures d’un obscur débutant qui au reste n’écrira rien avant des années, de décrire la genèse d’une nouvelle attitude littéraire, ou d’une nouvelle conception de la littérature. Dans ce premier volume, deux parties se font suite ; la première congédie le passé et étudie l’attitude de Stendhal vis-à-vis du « classicisme », c’est-à-dire de l’école française du XVIIe siècle, que le révolté littéraire rend « relative », mais plus profondément vis à vis de toute « école », du fait même de pouvoir constituer une communauté créatrice affiliée à des principes ou à des règles. Il en découle la deuxième partie qui étudie le ralliement de Stendhal au principe poétique que la tradition lui propose, et qui est à la limite de toute poétique possible, c’est-à-dire le sublime. Ici la tradition tend la main à la révolution ; mais dans quelles conditions ?

Michel Crouzet
Le Naturel, la grâce et le réel dans la poétique de Stendhal  (Essai sur la genèse du romantisme II)

Réimpression de l’édition de Flammarion, 1986
1 vol., 384p., broché, 15 x 22 cm. ISBN 978-2-05-102094-7. 55

 

Que veulent dire des termes comme « rhétorique » et « poétique » à propos d’un écrivain romantique, ou pour un Moderne exemplaire comme Stendhal ? Répondre à la question serait parvenir à une certaine formalisation d’une uvre qui se donne pour identique à son auteur, ou à la réalité, ou à la spontanéité et au caprice. Déjà, le premier tome de La Poétique de Stendhal avait montré que le Romantique (et le Réaliste, ici les deux grandes écoles se rejoignent) s’était livré à une critique politique de l’univers formel, mais s’était placé dans la dimension du Sublime, dans une tradition hors tradition, dans une catégorie à la limite du formel et du pensable. Aussi paradoxaux, mais non moins fondateurs, vont apparaître ici ses rapports avec les principes insaisissables du Naturel, de la Grâce (c’est le Corrège le meilleur témoin d’une poétique gracieuse), le Détail : autre legs du passé dont s’empare la révolution romantique de l’écriture.

La Revue Recherches et Travaux consultable gratuitement sur Internet

 Les ELLUG et les responsables de R&T on le plaisir de vous annoncer que R&T est désormais aussi une revue électronique (en ligne). Les numéros 68, 69 et 70 sont consultables gratuitement en texte intégral sur le site de revue.org : http://www.revues.org/index3297.

Les suivants le seront dans un délai de 18 mois après leur parution sur support papier

 http://recherchestravaux.revues.org/

L’ANNEE STENDHALIENNE N°7

 

ÉDITIONS HONORÉ CHAMPION
3 rue Corneille 75006 Paris – champion@honorechampion.com

L’ANNEE STENDHALIENNE N°7

Stendhal dialoguiste
2008. 1 vol., 448 p., broché, 15 x 22 cm. ISBN 978-2-7453-1709-4. 35 €

Les treize articles qui suivent constituent les Actes du colloque Stendhal dialoguiste qui s’est tenu à l’École Normale Supérieure les 15 et 16 septembre 2005. Une bonne partie des intervenants ont été à l’origine, en 2003, de la création du « Séminaire Stendhal », séminaire de « jeunes chercheurs » placé sous le parrainage de Béatrice Didier, de Philippe Berthier et de Marie Rose Corredor. Le département « Littérature et langages » de l’ENS, l’équipe « Littérature et histoires » de l’Université Paris 8, avec l’aide amicale et toujours précieuse de Jacques Neefs, et le Centre d’Études Stendhaliennes et Romantiques de l’Universités Stendhal – Grenoble III ont rendu ce colloque possible. Qu’ils en soient, une nouvelle fois, remerciés.
Yves ANSEL, Dialogue, dialogisme, polémique. Marie PARMENTIER, Le dialogue avec le lecteur : de la conversation au trompe-l’œil. Laure LASSAGNE, « Répondit-il à l’interrupteur ». Paradoxe d’un monologue dialogal. Xavier BOURDENET, Dialogue et polémique littéraire dans Racine et Shakespeare. Eric AVOCAT, Théorie et pratique du théâtre chez Stendhal : un novateur saisi par la tradition. Béatrice DIDIER, Le dialogue dans le Journal de Stendhal. Marie DE GANDT, Du cercle de parole au for intérieur : les modèles du dialogue stendhalien. Amina RACHID, Armance : théâtralité de la parole et repli sur soi. Francesco SPANDRI, Dialogisme et égotisme auctorial. Rania FATHY, Dialogue et narration dans Le Rouge et le Noir : continuité et/ou rupture ? Eric BORDAS, Parlures stendhaliennes. Agathe NOVAK LECHEVALIER, Dialogues en scène : la théâtralité des dialogues dans les romans de Stendhal. FrançoisVanoosthuyse, Du dialogue comme composition sonore. Yoshitaka UCHIDA, Analyse du manuscrit de San Francesco a Ripa. Yves ANSEL, Société et vie de cour dans La Chartreuse de Parme. Marie PARMENTIER, Comment placer sa voix ? Les narrateurs de Lamiel. Kichiro KAJINO, « Stendhal » chez Prosper Mérimée après 1842. NOTES ET DOCUMENTS. Jacques HOUBERT, Événement : le manuscrit d’un « fragment divers » de De l’Amour entre à Grenoble. Quatre lettres inédites de Stendhal. Précisions vétilleuses sur La Chartreuse de Parme. « Ah Dieu ! Que la guerre est jolie ». Stendhal et Apollinaire au feu. Une anecdote stendhalienne racontée par Mme de Tracy. Élisabeth EDL, Wolfgang MATZ, Un sonnet de Pétrarque dans La Chartreuse de Parme. Jacques HOUBERT, Une anecdote stendhalienne dans La Chartreuse de Parme. CHRONIQUE : Philippe BERTHIER.