Le site SORTIR ici et ailleurs
magazine des arts, des spectacles et des festivals du Sud-Est de la France
propose une page d’informations précises consacrées à « Stendhal, patrimoine littéraire à Grenoble ».
Le site SORTIR ici et ailleurs
magazine des arts, des spectacles et des festivals du Sud-Est de la France
propose une page d’informations précises consacrées à « Stendhal, patrimoine littéraire à Grenoble ».
STENDHAL LITTERAL
Lamiel
Yves Ansel
Grenoble : ELLUG, coll. « Bibliothèque Stendhalienne et romantique », 2009.
ISBN : 978-2-84310-142-7
ISSN : 1294-0658
Juillet 2009
216 p.
Prix : 22 € (+ frais de port)
Lamiel est la dernière grande fiction de Stendhal, laissée en plan(s) par la mort de l’auteur en 1842. Lamiel, dont l’intrigue se déroule dans les dernières années de la Restauration et le début de la monarchie de Juillet, est aujourd’hui encore un roman très méconnu, et pour des raisons qui ne tiennent pas seulement à son inachèvement. C’est à une réévaluation de cette oeuvre déconcertante que s’attache la présente étude.
Beaucoup moins réaliste que Le Rouge et le Noir, Lamiel, rétrospective « chronique » des temps assez peu historique, conte la destinée d’une héroïne qui monte de Normandie à Paris, sans daigner écouter les innombrables sermonneurs qui lui veulent du bien. Tôt affranchie par le singulier et lucide docteur Sansfin, amorale, avant tout respectueuse de sa sacro-sainte liberté — « Ne suis-je pas maîtresse de moi ? » est la phrase qui résume son credo existentiel et éthique —, Lamiel emprunte des chemins non balisés, fait scandale parce qu’elle trace sa propre route. De là à faire de cette rebelle une féministe avant l’heure, il n’y avait qu’un pas, souvent allègrement franchi. À tort ou à raison ? Les réponses sont dans le(s) texte(s).
Obstinément attaché à la lettre, s’interdisant soigneusement toute « textrapolation » inspirée, se gardant de toute dérive historique, thématique ou symbolique, dans un langage délibérément simple, Stendhal littéral, Lamiel se veut une (re)lecture précise, rigoureuse, contrôlable, de l’ultime grand roman de Stendhal.
Recherches & Travaux, n°74 : Le ton Stendhal
Grenoble : Éditions littéraires et linguistiques de l’université de Grenoble, juillet 2009, 198 p.
ISBN : 978-2-84310-146-5
Prix : 13 €
La notion de « ton » est généralement délaissée, dans les études littéraires, abandonnée au registre impressionniste ou métaphorique, et s’en trouve par conséquent mal famée. Paul Valéry en fit pourtant la clef de la poétique stendhalienne. Quelle réalité ce terme improprement théorique, héritier de la « manière » et du « je-ne-sais-quoi », et plus rétif à la description que la question du style, recouvre-t-il, et particulièrement dans le cas de Stendhal ? C’est ce que les différents articles tentent ici d’explorer en envisageant la question dans plusieurs de ses dimensions : le recueil comporte ainsi des réflexions générales sur le concept de ton (son statut trans-esthétique, ses différentes ententes, sa relation au style…), il compte aussi des examens plus rapprochés de textes stendhaliens (sur le ton des incipit, dans le discours intérieur…) ainsi que études sur les fonctions et usages de la notion : les rapport ton/théâtre, le stratégie rhétorique, les registres (le fantastique, le « mauvais ton »…).
Sommaire :
Philippe Jousset, « Le ton Stendhal : postures, allures, textures ».
DU TON EN GÉNÉRAL ET DU RYTHME EN PARTICULIER
François Vanoosthuyse, « Le ton du texte : une aporie poétique ? » ;
Éric Bordas, « En majeur ou en mineur ? Tonalités et modalités des incipit romanesques stendhaliens » ;
Philippe Jousset, « L’économie du ton. Réflexions à partir des premières pages de Lucien Leuwen » ;
Karin Gundersen, « Les tilleuls du ministère de la Guerre ».
UN THÉÂTRE INTIME
Agathe Novak-Lechevalier, « Le ton du roman stendhalien : un anti-théâtre ? » ;
Marie Parmentier, « « Le ton le plus individuel qu’il soit en littérature ». De la singularité sublime à l’efficacité rhétorique » ;
Laure Lassagne, « Ton du discours intérieur dans les romans de Stendhal ».
LE MAUVAIS TON
Daniel Sangsue, « Stendhal fantastiqueur » ;
Georges Kliebenstein, « Stendhal et le scandale tonal : le déton(n)ant et le bêlant » ;
Pierre Laforgue, « Le mauvais ton de Stendhal. Les comptes rendus du Rouge et le Noir en 1830-1831 » ;
Georges Mathieu, « Stendhal pornographe ! ».
Stendhal
Filosofia Nova. Pensées. Marginalia
«Nos passions et par conséquent nos états ?de passion ne sont pas volontaires. Elles sont la cause et non pas l’effet de la volonté. — Nos volontés suivent nos opinions, voilà bien la tête influant sur l’âme ou le cœur. De quelle manière ? Et quand ? — Quand j’aurai bien décrit la tête et le cœur, il ne me restera plus que ce problème à résoudre pour avoir achevé de trouver les idées de la filosofia nova.»
«L’homme vit d’après ce qu’il croit être et non point d’après ce qu’il est véritablement.»
«On ne peut pas au moment où l’on produit avoir pour ce qu’on fait la nuance d’admiration que donnent les beautés des autres qu’on rencontre et où il entre toujours une nuance d’imprévu. Faute de cette vérité, […] j’ai été souvent découragé.»
La présente édition reprend en un seul volume les 1275 pages publiées en quatre tomes par Henri Martineau dans la collection Le Divan au cours des années 1930. Maints écrits de Stendhal, sinon des œuvres entières (Armance, le Rouge et le Noir…) apparaissent comme des narrations méditatives, tissées de notations psychologiques et d’aphorismes saisissants: d’un personnage à l’autre et au cours des situations changeantes qu’ils traversent, l’auteur incarne ses points de vue, ses contradictions, poursuit une réflexion unique sur des possibilités multiformes. Surchargeant les marges de ses lectures, de ses propres livres ou ses manuscrits mêmes de traits en pointillés in?nis, Stendhal constitua ce qu’il appella son « magasin », le monde où puiser les aliments caractéristiques de ses héros passionnels, de leurs déchirements et de leurs péripéties. Cette somme se constitua en plus de quarante ans de rêveries, de souffrances, d’observation ironique et faussement mondaine – pour se protéger et se désennuyer. Ainsi, ses esquisses d’une «philosophie nouvelle» recherchée dès l’abord (le titre est de Stendhal), de ses aperçus, de ses critiques littéraires (admiratives ou non), suggère une solution de continuité entre les œuvres «achevées» et l’écriture quotidienne qui les nourrit, comme elle nourrit les biographies empruntées, les récits de voyages fréquemment pastichés. Alors se découvre la somme, la création dans son ensemble.
35,00 € Prix TTC, frais de livraison compris
Texte établi par Henri Martineau
Fac-similé des éditions publiées par Le Divan (Paris) en 1931 et 1936, remis en pages dans un grand format dont chaque page comporte quatre pages des volumes originaux (1275 p.).
334 pages, 180 x 270 mm, broché, disponible
Juillet 2009. isbn 2-84505-083-6 – ean 9782845050839
SOURCE: Éditions Ressouvenances http://www.ressouvenances.fr/epages/62046842.sf/fr_FR/?ObjectPath=/Shops/62046842/Products/154
Armance ou la liberté de Stendhal
Jean-Jacques HAMM
Ce livre propose une lecture des multiples facettes d’un roman qui longtemps a été déconsidéré par la critique, qui longtemps a été lu à partir, ou contre la lettre de Stendhal à Mérimée, censée fournir la clé de l’histoire et du héros. Armance, œuvre où le secret du héros devient le secret du roman, s’organise autour d’un vide central. Stendhal écrit par strates, plus ou moins développées, plus ou moins permanentes. À la question de l’identité du héros, d’un livre, d’un auteur, question du « Que diable es-tu ? », toute réponse univoque est contrecarrée par la difficulté ou l’impossibilité d’une clôture du sens. Ce travail se situe dans la lignée d’une poétique des textes, concernée à la fois par la question de l’organisation interne d’une œuvre et par la relation de celle-ci à un contexte d’histoire et de réception. Tout en faisant le point sur les lectures du roman, il propose de montrer dans son interprétation la richesse, l’innovation et la liberté que Stendhal apporte à une œuvre-synthèse d’une forme nouvelle. Notre auteur, tenté par une écriture paradigmatique, analogique, déstabilise son propos afin d’entraîner le lecteur dans ce qu’il appelle, en un autre lieu, une conversation infinie.
CHAMPION PARIS 27/05/2009 Collection Romantisme et Modernité 280 pages Relié 55 euros
ISBN 9782745318077 EAN 9782745318077
Colloque Stendhal / théâtre
Jeudi 11 juin 2009 Paris (75005)
Avec le soutien du centre de recherche sur les poétiques du XIXème siècle de l’Université Sorbonne Nouvelle-Paris III et en collaboration avec le Centre d’Etudes Stendhaliennes et Romantiques, Université Stendhal-Grenoble III.
Maison de la Recherche, 4, rue des Irlandais, Paris 5ème
« On ne voit pas nettement pourquoi Stendhal ne s’est pas donné au théâtre, auquel tout le destinait » (Valéry) : cette interrogation perplexe illustre à la fois l’évidence du lien qui unit Stendhal au théâtre (et que Beyle met lui-même en scène en se disant pris d’une vocation dramatique dès l’âge de dix ans) et la force avec laquelle Stendhal romancier a éclipsé Stendhal dramaturge. Si Stendhal ne s’est finalement pas donné exclusivement au théâtre, il s’y est toujours adonné : lecteur de théâtre fervent, spectateur assidu – épris des actrices autant que des textes, Stendhal a été aussi un critique dramatique tour à tour réfléchi et enflammé, un poéticien acharné, un dramaturge assez prolifique quoique perpétuellement insatisfait : ses ébauches remplissent plus de 700 feuillets du fonds Stendhal de la Bibliothèque de Grenoble, auxquels viennent s’ajouter les nombreuses pages de journaux ou de correspondance qu’il consacre au théâtre.
Colloque portant sur le théâtre de Stendhal organisé par
PROGRAMME
Jeudi 11 juin
13 h 30 : Accueil des participants et ouverture du colloque par Philippe Berthier (Université Paris 3)
14 h : Francesco Spandri (Université de Rome) : « Le théâtre fantôme »
Sources et influences
Présidente : Marie-Rose Corredor (Université Grenoble 3)
14 h 30 : Muriel Bassou (Université Grenoble 3) : « Critiques théâtrales à quatre mains : le duo Beyle-Crozet à pied d’« œuvres » en 1811 »
15 h : Maurizio Melai (Université de Pise) : « Stendhal et la tragédie de la Restauration »
15 h 30 : Hélène Spengler (Université Grenoble 3) : « Stendhal promoteur et critique de la “tragédie historique” »
16 h 30 : Laure Lévêque (Université de Franche-Comté) : « Lucien de Samosate et Stendhal : dialogues des morts pour un auteur en quête d’art dramatique »
17 h : Cécile Meynard (Université de Grenoble 3) : « Les Caractères, sources d’inspiration pour le théâtre de Stendhal »
Vendredi 12 juin
“Romanticisme” et poétique dramatique stendhalienne
Président : François Vanoosthuyse (Université Paris 3)
9 h : Michel Brix (Université de Namur) : « Stendhal et la “révolution” dramatique de 1830 »
9 h 30 : Éric Avocat (Université de Kyoto) : « Henri III, fragment d’un drame romanticiste : purgation du pathos et mise à nu des passions »
10 h : Georges Kliebenstein (Université de Nantes) : « La Gloire et la Bosse : Auguste Gélimer ad majorem gloriam »
11 h : Serge Linkès (Université de La Rochelle) : « L’invention dramatique chez Stendhal : entre théorie et pratique »
11 h 30 : Gisela Moinet (Association Stendhal Grenoble) : « Le cahier de Letellier ou la comédie de l’impossible »
Le théâtre hors du théâtre
Président : Jean-Jacques Hamm (Université de Queen)
14 h 30 : Catherine Mariette (Université de Grenoble 3) : « “Conserver le dramatique de la vie” : théâtralité du quotidien dans le Journal (1802-1805) »
15 h : François Kerlouegan : « L’analogie théâtrale dans le discours sur l’art : l’exemple du Salon de 1824 »
16 h : Yves Ansel (Université de Nantes) : « Pourquoi Stendhal est un si bon lecteur, ou les leçons de Molière »
Samedi 13 juin
Le théâtre et le roman
Président : Christopher Thompson (Université de Warwick)
9 h : Maria Scott (Université de Galway) : « L’authenticité des héroïnes comédiennes de Stendhal »
9 h 30 : Xavier Bourdenet (IUFM de Paris) : « De Phèdre à Gina : pour une lecture racinienne de La Chartreuse de Parme »
Le théâtre… ou l’opéra
10 h 30 : Béatrice Didier (École Normale Supérieure) : « L’esthétique du livret d’opéra comique et d’opéra bouffe chez Stendhal »
11 h : Suzel Esquier (Université Paris IV) : « De Racine et Shakespeare aux Notes d’un dilettante : principes d’une dramaturgie romantique »
11 h 45 : Bilan : Agathe Novak-Lechevalier (Université Montpellier 3)
CYCLE STENDHAL AUJOURD’HUI :
RENCONTRE AVEC GÉRARD GUÉGAN
Jeudi 4 Juin 2009
à la Bibliothèque municipale d’étude et d’information
Depuis 2005, la Bibliothèque municipale de Grenoble a invité six auteurs à évoquer leur lien à Stendhal, qu’il soit d’inspiration, de sympathie ou de défiance. Gérard Guégan, lui, s’inscrit nettement dans l’affiliation : il a parsemé dans plusieurs de ses romans les figures de Julien Sorel, de Madame de Rênal, de Clelia Conti, de Pauline et de Stendhal lui-même…
Contestataire passé du Parti Communiste Français au Situationnisme, Gérard Guégan est entré dans le monde éditorial (éditions du Sagittaire, éditions Champ Libre…), avant de devenir romancier, auteur de plus de vingt livres. Il ne cache pas sa filiation à Stendhal, dont on peut retrouver la trace, par exemple, dans son roman Soudain l’amour (Grasset, 2003) où le protagoniste, Maxime Périer Lagrange, travaille sur le scénario d’une fiction télévisée sur Stendhal ; ou encore, dans son enthousiaste et renseignée préface à la Notice sur la vie et les ouvrages de Henri Beyle rédigée par le cousin de Stendhal, Romain Colomb.
Rencontre animée par Catherine Mariette, maître de conférences à l’université Stendhal.
Jeudi 4 juin 2009, 19 h 30.
À la Bibliothèque municipale d’étude et d’information / 12, Bd Maréchal Lyautey.
Contact : 04 76 86 21 00.
Entrée libre.
STENDHAL AUJOURD’HUI
Société internationale d’études stendhaliennes
Conférence de Mme Anne-Marie Baron
« Ecueils et bonheurs de la transposition : La Chartreuse de Parme vue par Bertolucci »
Jeudi 4 juin, 16-19h
Université Paris III
Centre Censier, 13, rue de Santeuil
75005 Paris
Salle 49 (Cinémathèque, rez-de-chaussée)
Journée d’étude
1809 : Stendhal à Vienne
L’année autrichienne
Organisée par le Centre d’études stendhaliennes et romantiques (CESR—Traverses 19.21 )
Jeudi 14 et vendredi 15 mai
Salle Jacques Cartier de la Maison des langues et des cultures
Domaine Universitaire – 1141, avenue centrale – 38400 Saint Martin d’Hères
Tramways B et C : arrêt Bibliothèques universitaires
Durant toute l’année 1809, le « commissaire des guerres » Henri Beyle (qui se fera appeler « de Beyle » à partir de 1810) , accompagne Napoléon dans sa campagne militaire.
Le voyage de Strasbourg à Vienne l’enchante par la beauté du paysage – « Le pays de Strasbourg à Vienne est, aux lacs près, tout ce qu’on peut désirer de plus pittoresque ». Comme toujours, il se prépare par des lectures telles que le Voyage de John Moore en France, Suisse et Allemagne ou l’Histoire de la Maison d’Autriche de William Coxe.
C’est véritablement le séjour à Vienne qui laissera les traces les plus marquantes. Il entre dans laville le 14 mai au matin, après la prise de Vienne par les armées françaises, et y restera jusqu’au21 ou 27 novembre. Seule une brève mission en Hongrie viendra l’interrompre. Vienne le ravitd’emblée : «J’ai éprouvé, les premiers jours de mon séjour à Vienne, ce contentement intérieur etbien être parfait que Genève seule m’avait rappelée depuis l’Italie (…). Vienne est pour moi uneville très agréable. »
Mais le séjour sera surtout essentiel pour l’évolution de ses goûts artistiques, et particulièrement musicaux ; il assiste aux obsèques de Haydn, sans doute le musicien le plus célèbre de l’époque. Vienne est incontestablement le vrai moment de la découverte de Mozart, en particulier du Don Juan. Désormais, Cimarosa, découvert en Italie, et Mozart seront à égalité pour lui.
En 1809, c’est le ballet et l’opéra qui font la gloire de la capitale des Habsbourg : Stendhal consacre ses soirées aux innombrables représentations et découvre, avec les pièces de Kotzebue, un nouveau registre théâtral qui contribue à faire évoluer son goût. C’est la révolution « romantique », au sens de Schlegel qui professait alors à Vienne la promotion du « drame historique et romantique ».
C’est à regret que Stendhal quittera Vienne à l’automne, comme en témoignent les lettres écrites à sa sœur Pauline. Cependant, il trouvera encore sur son chemin, avant de quitter la Bavière, les mines de Hallein et ses cristaux de sel : matière et métaphore d’une véritable mutation de sa conception de l’imagination romantique.
Quinze ans plus tard, l’Autriche sera encore le cœur secret de De l’Amour.
LE SITE DES MANUSCRITS DE STENDHAL
Stendhal sera mis à l’honneur le mercredi 20 mai 2009 par la Ville de Grenoble et l’Université Grenoble 3 Stendhal, lors de l’inauguration officielle du site « Manuscrits de Stendhal » :
http://www.manuscrits-de-stendhal.org
Ce site commun aux deux institutions a été conçu par Cécile Meynard (Equipe Traverses 19-21) et Thomas Lebarbé (laboratoire LIDILEM), en étroite collaboration avec la Bibliothèque municipale d’étude et d’information.
Les utilisateurs pourront consulter les images numérisées par la Bibliothèque, ainsi que leurs transcriptions réalisées par les chercheurs du groupe de travail « Manuscrits de Stendhal ». À terme, un moteur de recherche permettra d’effectuer des recherches complexes sur le fonds, et des outils de TAL (traitement automatique de la langue) seront mis en place par les chercheurs linguistes de l’équipe. Les différents niveaux d’accès prévus en feront un site accessible aussi bien au grand public qu’aux amateurs éclairés et aux chercheurs spécialisés.
Chantal Massol