Stendhal Souvenirs d’égotisme

Stendhal
Souvenirs d’égotisme

Ed Philippe Berthier
Flammarion
http://editions.flammarion.com/Albums_Detail.cfm?ID=43633&levelCode=litterature

Parution: 06/02/2013
Format: 10.9×17.8×1.3 cm
Prix: 6,90 €
EAN: 9782081279056

Mémoires rédigés en 1832 dans lesquels l’écrivain, alors consul de France à Civitavecchia, retrace sa vie de son départ de Milan en juin 1821 à sa nomination à Trieste en novembre 1830.

Stendhal et l’héroïsme au féminin

Stendhal et l’héroïsme au féminin
Colloque organisé par Stendhal Aujourd’hui
Avec la collaboration de HB Revue internationale d’études stendhaliennes
29-30 mars 2013
Université Paris-Sorbonne-Paris IV
Maison de la Recherche, 28 rue Serpente 75006 Paris (Salle D 035)

Vendredi 29 mars

9h30     Accueil des participants et ouverture du colloque

10h       Pierrette Pavet (Paris)
Le courage des héroïnes stendhaliennes

10h30   Brahim Karoui (Université de Sfax)
Pour une typologie de la femme dans Armance

11h       Maria Vicenta Hernández Álvarez (Université de Salamanque)
Les mots d’Armance : notes pour l’analyse d’un discours au féminin

14h30   Béatrice Didier (ENS, Ulm)
L’héroïsme féminin à l’opéra

15h       Max Andréoli (Grasse)
Héroïnes héroïques : Stendhal et Balzac

15h30   Bérénice Levet (Paris)
Les femmes, un contrepoids aux passions démocratiques

Samedi 30 mars

9h30      Marie-Thérèse Fuentes (Université Complutense)
Stendhal ou le féminisme avant la lettre

10h       Suzel Esquier (Université de Clermont-Ferrand, C.R.R.R.)
Stendhal et le conte de fées

10h30    Pause

11h        Sascha Lüthy (Université de Berne)
Le « projet héroïque » d’Armance de Zohiloff

11h30    Andrée Mansau (Université de Toulouse-Le Mirail)
Une héroïne espagnoliste, Suora Scolastica face à Eugenia Palafox

14h30   Thierry Ozwald (Université de Limoges)
Un mot encore sur l’héroïsme : Lamiel

15h       Barbara Innocenti (Université de Sienne)
« Je pose mon stylo mais mon cœur ne vous quitte pas.»
À propos de quelques lettres inédites de Giulia Rinieri à son mari

15h30    Michel Crouzet (Université Paris-Sorbonne)
Mme de Rênal ou la tendresse héroïque

 

L’Année stendhalienne 14 (2015)

L’Année stendhalienne 14 (2015) aura pour thème:  STENDHAL / 1830.

Il s’agira d’une coupe dans la vie de Stendhal , envisagée  librement dans tous ses aspects au cours de ce millésime bien  particulier: activité littéraire ( Mina de Vanghel, Le Philtre, Le Coffre et le Revenant, Le Rouge et le Noir), vie sentimentale (Alberthe de Rubempré, Giulia Rinieri), vie sociale (Mérimée, Delacroix,les Ancelot, Sainte-Beuve, Hugo), déplacements (voyage à Honfleur), et bien entendu la Révolution et Trieste.

Faites-moi parvenir vos propositions avant le 1er Mai. Les textes seront à remettre pour le 1er septembre 2014.

Philippe Berthier

Stendhal Vie de Henry Brulard

Stendhal
Vie de Henry Brulard

Le Livre de Poche
Les Classiques de Poche

Date de publication: 23 janvier 2013

Série: Classiques (Livre 32552)

La Vie de Henry Brulard, entreprise en 1835 puis abandonnée et laissée à l’état de manuscrit inachevé, trouve son origine dans le même désir de raconter sa vie qu’attestaient ses Souvenirs d’égotisme. Et l’égotisme, qui est d’abord un mode d’observation et d’analyse de soi, se retrouve ici et oriente pour une part cette Vie du côté de l’autoportrait aussi bien que de l’autobiographie ; mais c’est également un roman puisque celui qui s’appelle Henri Beyle et s’est choisi Stendhal pour pseudonyme décide de se raconter sous un nom encore différent. L’auteur, ainsi, bouscule la tradition des mémoires : il se refuse d’ailleurs à reconstruire sa vie pour éviter de lui donner la cohérence d’un destin, et privilégie le naturel d’une écriture dénuée d’emphase. Stendhal, par cette spontanéité, veut avant tout demeurer fidèle à lui-même, et se livre au plaisir dilettante d’une création littéraire qui est un bonheur que l’on s’offre — avant de l’offrir au lecteur.

Collection Classiques dirigée par Michel Zink et Michel Jarrety
Édition de Fabienne Bercegol.

Pour un autre Stendhal Yves Ansel

Pour un autre Stendhal
Yves Ansel

 

Pour un autre Stendhal rassemble des articles qui manifestent un double projet : faire table rase d’une tradition exégétique qui a privilégié l’homme aux dépens de l’œuvre, prouver la nécessité d’une lecture rigoureuse, intégrale, de textes dont il importe de respecter les enjeux, les spécificités.

Études romantiques et dix-neuviémistes 34
ISBN  978-2-8124-0858-8
9782812408588
EAN
Paris 31/01/2013
15 x 22 x 1,7 cm
333 pages
Broché
Prix unitaire: 39.00 € TTC

http://www.classiques-garnier.com/editions/index.php?page=shop.product_details&flypage=flypage_garnier.tpl&product_id=1099&category_id=3&keyword=Ansel&option=com_virtuemart&Itemid=41

HB Revue internationale d’études stendhaliennes, n° 17

HB Revue internationale d’études stendhaliennes, n° 17, 2013,

EUREDIT

Stendhal et l’aristocratie Colloque Paris-Sorbonne 25 et 26 mars 2011.

Textes réunis et présentés par Michel Arrous.

Décembre 2012, 483 p. 89 euros

DOSSIER Présentation par Michel Arrous Satire et délégitimation des figures de l’Ancien Régime dans Le Rouge et le Noir par Brahim Karoui Le laconisme aristocratique dans Lucien Leuwen : discours et attitudes d’une morale naturelle par Claire Deslauriers Une relecture de Duclos : Stendhal et la politique aristocratique par Elisabeth Scheele De la concurrence des modèles comique et tragique dans Armance : la fabrique littéraire d’une exigence de noblesse, de l’héroïsme à la monstruosité par Audrey Giboux « Les aristocrates à la lanterne » ? L’aristocratie chez Stendhal et Balzac par Max Andréoli Aristocratie et jeux de Bourse chez Stendhal et Balzac par Brigitte Méra Des aristocraties espagnoles par Andrée Mansau La belle Mme d’Hocquincourt par Suzel Esquier La Chartreuse de Parme, roman de l’aristocratie par Maria Zani La politique dans Armance et Lucien Leuwen : le règne des salons et des fripons par Françoise-Marie Guinoiseau Le salon aristocratique dans Armance : un théâtre oculaire par Sascha Lüthy L’aristocratie d’une dame courtoise : La Belle dame sans mercy et Le Rouge et le Noir par Maria Vicenta Hernández Álvarez La conversation et la parole aristocratiques dans le roman stendhalien par Pierrette Pavet Carmen chez la comtesse : l’expérience de la vulgarité par Nicolas Perot Quelques sources possibles pour les personnages de La Chartreuse de Parme : généalogie et histoires par Léa d’Aleo Figure(s) de l’aristocrat(i)e dans Armance ou Quelques scènes d’un salon de Paris en 1827 par Méké Méité La Sainte-Alliance à l’Opéra : Il Viaggio a Reims vs Le Rouge et le Noir par Francis Claudon La formation aristocratique de Julien Sorel par Michel Crouzet VARIA Texte et variantes : au sujet du texte de base de l’édition Hetzel du Rouge et le Noir par Nobuhiro Takaki Mérimée en Espagne : un voyageur impénitent ? par Thierry Ozwald La sprezzatura rossinienne dans la filiation du Courtisan de Baldassare Castiglione par Liliane Lascoux Jaubert de Passa – Mérimée, les fruits partagés d’une heureuse rencontre par Jacques Saquer Autour des éléments picturaux dans La Chartreuse de Parme. Deux peintres parmesans par Ami Kobayashi Lucien Leuwen, roman du pouvoir par Michel Crouzet Stendhal, une solitude très peuplée par Michel Crouzet Parcours autobiographiques : Stendhal lecteur de Rousseau par Pascale Bolognini-Centène Clair-obscur musical chez Stendhal par Liliane Lascoux NOTES Philippe et Minna ou une escapade à Venise par Merete Gerlach-Nielsen L’auteur du Journal d’un raté aime Le Rouge et le Noir par Pierrette Pavet Stendhal de retour à Andilly par Michel Arrous Journées stendhaliennes des 12 et 13 octobre 2012 par Michel Arrous LIVRES

Appelle-moi Stendhal Gérard Guégan

Appelle-moi Stendhal

Gérard Guégan

Code EAN / ISBN : 9782234071162
Code HACHETTE : 5490883
Prix TTC : 18,00 €
Date de parution : 06/02/2013
Dimensions : 215 x 135 mm
Nombre de pages : 176
Copyright © Editions Stock, 2013

http://www.editions-stock.fr/livre/stock-406136-Appelle-moi-Stendhal-hachette.html

Chacun le sait, tout ce qui s’est écrit sur la mort d’Henri Beyle, alias Stendhal, relève de l’invention. Même son cousin Romain Colomb a biseauté les cartes. Même Mérimée, ami de longue date, a cherché le scandale en déformant les faits.
L’événement a pourtant eu un témoin direct, Joseph Lingay. Éminence grise de la monarchie de Juillet, cet élève de Fouché, qui se disait « le plus corrompu des corrupteurs », régnait sur les fonds secrets de cinq ministères. Il en fit ainsi profiter Gautier, Nerval, Heine. Et, fort de son pouvoir, il était sur le point en mars 1842 d’envoyer à l’Académie son cher Stendhal, avec qui il avait partagé plus d’un plaisir.
Tous les deux, d’ailleurs, sortaient d’un bordel le soir où, foudroyé par l’apoplexie, l’écrivain manqua s’écraser sur le pavé parisien. Dans les heures, les jours suivants, Lingay s’employa à assurer sa légende, en s’aidant d’Old Nick, le découvreur de La Chartreuse, du jeune Gobineau, Ultra rallié à la cause de Mathilde de La Mole, et de Balzac, pas des plus rigoureux quand il y allait de l’argent.
Parce qu’il a pu consulter les carnets secrets de Lingay, réputés perdus, et un inédit de Gobineau connu du seul Aragon, Gérard Guégan s’est autorisé à tutoyer l’Histoire le temps d’une dernière valse. La dernière valse du romantisme. Les femmes y sont audacieuses et les hommes brillants.
C’est la vie. La vraie. La belle.

Dictionnaire amoureux de Stendhal de Dominique Fernandez

Dictionnaire amoureux de Stendhal

Dominique FERNANDEZ

Èditions PLON

http://www.plon.fr/ficheLivre.php?livre=9782259210942

Collection : Dictionnaire amoureux

Date de parution :10 Janvier 2013

Prix : 25 €

Nombre de pages : 832

Dimension : 132×201 mm

ISBN : 2-259-21094-5

Pourquoi Stendhal a-t-il abandonné Lucien Leuwen alors qu’il restait si peu à faire pour l’amener à sa forme définitive ? Pourquoi, chez cet auteur, le travail de la mémoire prend-il le pas sur l’imagination ? Pourquoi écrit-il La Chartreuse de Parme en cinquante-deux jours alors qu’il laisse inachevé Lamiel après deux ans et demi d’ébauche ? Pourquoi Le Rouge et le Noir n’eut-il aucun succès ? Pourquoi l’art de séduire lui fut-il étranger ? Pourquoi, dans ses romans, s’interdit-il d’expliquer, de juger, de commenter alors que dans la vie courante il ne cachait pas son mépris pour la sottise ambiante ? Comment, en exil consulaire à Civitavecchia, conçut-il ses fameuses  Chroniques italiennes ? Pourquoi Stendhal, en rejetant sa ville natale, Grenoble, rejetait-il bel et bien l’état d’esprit de tout un peuple, les Français ?
Autant d’interrogations, autant d’analyses auxquelles Dominique Fernandez, en fervent stendhalien, en observateur subtil, répond avec clairvoyance et délicatesse.

Critique, romancier, éternel voyageur, Dominique Fernandez a publié notamment Porporino ou les Mystères de Naples (Grasset, Prix Médicis 1974), Dans la main de l’ange (Grasset, Prix Goncourt 1982), La Perle et le Croissant (Plon, 1998), Dictionnaire amoureux de la Russie (Plon, 2004), Dictionnaire amoureux de l’Italie (Plon, 2008).