La Chartreuse de Parme à l’Opéra de marseille

La Chartreuse de Parme

Opéra en 4 actes? Livret d’Armand Lunel, d’après l’œuvre de Stendhal.?Création à Paris, Palais Garnier, le 20 mars 1939.

NOUVELLE PRODUCTION – CRÉATION À MARSEILLE

Févier 2012

http://opera.marseille.fr/opera-saison-prochaine/2096-la-chartreuse-de-parme

Mercredi 8 février 2012 à 20h
Vendredi 10 février 2012 à 20h
Mardi 14 février 2012 à  20h
Dimanche 12 février 2012 à 14h30

Stendhal et les choses de la nature Revue HB N° 15-16

HB

REVUE INTERNATIONALE D’ETUDES STENDHALIENNES
N° 15/16
2011/2012

EUREDIT 2011 369 p. 55 euros

http://www.euredit-editions.com/

SOMMAIRE

DOSSIER

STENDHAL ET LES CHOSES DE LA NATURE
Colloque – Paris-INHA – 26 et 27 mars 2010
Textes réunis et présentés par Michel Arrous

 

Présentation par Michel Arrous
Voyages stendhaliens et paysages, par monts et vallées, lacs et forêts, de 1800 à 1836.  Leçon de choses par Marie-Françoise Guinoiseau
Guerre et nature chez Shakespeare et Stendhal par Elisabeth Scheele
Forêts et arbres chez Stendhal et Balzac par Max Andréoli
« Pyrénées ubi es ? » par Andrée Mansau
« A l’ombre de ces beaux arbres », ou la lumière de Claude Lorrain chez Stendhal par Encarnación Medina Arjona
Les choses de la nature et les choses de la peinture : le mariage romanesque des dernières années par Janine Gallant
« Monsieur le Capital et Madame la Terre » par Francesco Spandri
Stendhal et la laideur des choses par Pierrette Pavet
Nominalisme et nature : bois et forêts stendhaliens par Jean-Jacques Hamm
Le terrestre et le céleste chez Stendhal par Michel Crouzet

VARIA

Jeux et enjeux de l’épigraphie chez Stendhal par Jean-Jacques Hamm
Quelques remarques sur la publication du Couvent de Baïano : dix lettres inédites de Henri Fournier à Paul Lacroix par Nobuhiro Takaki
La carte de Tendre stendhalienne : de l’amitié tendre à l’amicizia par Muriel Bassou
Stendhal et Madame de Duras : le rousseauisme jacobin dans Armance par Shigeru Shimokawa
Histoire et fiction. Réalité historique et littérature : la révolution napolitaine de 1799 (30 décembre 1798-24 juin 1799) par Max Andréoli
Problématique : Stendhal par Ferdinand Collier
Etat présent des études stendhaliennes au Japon (2007-2009) par Akemi Yamamoto

NOTES
La Revue britannique et les premières Œuvres complètes de Stendhal par Michel Arrous
Au théâtre avec Mérimée par Michel Arrous

LIVRES

In Memoriam Andrey Mikhaïlov

Stendhal et l’Aristocratie

Stendhal et l’Aristocratie

Colloque organisé par Stendhal Aujourd’hui

Avec la collaboration de HB Revue internationale d’études stendhaliennes

25 et 26 mars 2011
Université de Paris-Sorbonne-Paris IV

Vendredi 25 mars

Première session : Salle des Actes

9h Accueil des participants et ouverture du colloque

9h15-9h 40     Brahim Karoui (Université de Tunis)
Satire et délégitimation des figures de l’Ancien Régime dans Le Rouge et le  Noir

9h45-10h10    Claire Deslauriers (ENS-Lyon)
Le laconisme aristocratique dans Lucien Leuwen : discours et attitudes d’une morale naturelle

10h15-10h30  Pause

10h30-10h55  Elisabeth Scheele (Paris)
Une lecture de Duclos : Stendhal et la politique aristocratique

11h-11h25      Audrey Giboux (Université Bordeaux III)
De la prégnance du modèle tragique dans Armance : la fabrique littéraire d’une exigence de noblesse

Deuxième session : Maison de la Recherche, salle 323, 28, rue Serpente, Paris VIe

14h-14h25      Max Andréoli (Grasse)
Aristocraties stendhalienne et balzacienne

14h30-14h55   Brigitte Méra (Davidson College USA)
Aristocratie et passion des jeux de Bourse  chez Balzac et Stendhal

15h-15h15       Pause

15h15-15h40  Andrée Mansau (Université de Toulouse- Le Mirail)
Des aristocraties espagnoles et de la « coquetterie apparente de la race ibère »

15h45-16h10   Sylvain Ledda (Université de Rouen)
Musset et l’écriture aristocrate

Samedi 26 mars

Première session : Université Paris IV, salle G 336

9h 15-9h40       Françoise Guinoiseau (Lyon)
La politique dans Armance et Lucien Leuwen : le règne des salons et des fripons

9h45-10h10       Sascha Luethy  (Université de Berne)
Le salon aristocratique dans Armance : un théâtre oculaire

10h15-10h30     Pause

10h30-10h55    Maria Vicenta Hernández  Alvarez (Université de Salamanque)
L’aristocratie d’une dame courtoise : vocabulaire et psychologie dans Le Rouge et le Noir

11h-11h25        Pierrette Pavet (Paris)
La parole et la conversation des aristocrates dans le roman stendhalien

Deuxième session : Université Paris IV, salle G 336

14h-14h25         Nicolas Perot (Caen)
Aristocratie et vulgarité : Carmen de Mérimée

14h30-14h55      Suzel Esquier (Université de Clermont-Ferrand, C. R. R. R.)
La belle Mme d’Hocquincourt

15h-15h15          Pause

15h15-15h45      Michel Crouzet (Université  Paris IV)
L’éducation aristocratique de Julien Sorel

Philippe Sollers Trésor d’amour

Philippe Sollers
TRÉSOR D’AMOUR
BLANCHE 224 pages – 17,90 €

« On vit donc à Venise, Minna et moi, à l’écart. On ne sort pas, on ne voit personne, l’eau, les livres, les oiseaux, les arbres, les bateaux, les cloches, le silence, la musique, on est d’accord sur tout ça. Jamais assez de temps encore, encore. Tard dans la nuit, une grande marche vers la gare maritime, et retour, quand tout dort. Je me lève tôt, soleil sur la gauche, et voilà du temps, encore, et encore du temps. On se tait beaucoup, preuve qu’on s’entend.
Les amoureux sont seuls au monde parce que le monde est fait pour eux et par eux. L’amour est cellulaire dans les tourbillons du hasard, et ces deux-là avaient une chance sur quelques milliards de se rencontrer à la même époque. Entre le français et l’italien, il y a une longue et bizarre histoire. Elle ne demande, avec Stendhal, qu’à s’approfondir. »

Philippe Sollers.

TRÉSOR D’AMOUR [2011], 224 pages, 140 x 205 mm. Collection blanche, Gallimard. ISBN 9782070780860. Parution : 05-01-2011.

Stendhal e Firenze d’Annalisa Bottacin en traduction française

Madame Annalisa BOTTACIN a eu l’amabilité de traduire en français deux chapitres de son livre

Stendhal e Firenze

publié en 2005 par le CIRVI dans la collection Bibliothèque Stendhal avec une préface de Victor Del Litto

Voir l’article http://www.stendhal.fr/?p=203

Nous les proposons ici en consultation au format PDF

Préface de Victor Del Litto

dellittopref.pdf

 La « Cité de Flore »

flore-fr.pdf

Stendhal et Salvagnoli

stendhalsalvagnoli.pdf

 

François Bronner, La Schiassetti. Jacquemont, Rossini, Stendhal…

François Bronner, La Schiassetti. Jacquemont, Rossini, Stendhal…
Une saison parisienne au Théâtre-Italien. 1824-1826
Paris : Editions Hermann, coll. « Points d’Orgue », 2010.
EAN 9782705680176
392 p.
8 illustrations en noir et blanc
Prix 30EUR

En 1824, Stendhal devient chroniqueur musical au Journal de Paris pour rendre compte des spectacles du Théâtre-Italien. Cette année-là, Rossini prend la direction du théâtre et engage la jeune cantatrice milanaise, Adélaïde Schiassetti. « La Schiassetti » triomphait à Munich depuis 1818, où la Cour l’adorait et où le futur Louis Ier en était tombé amoureux. Mais c’est à Paris que la jeune femme s’éprend du naturaliste Victor Jacquemont.
Le récit du séjour parisien de La Schiassetti nous plonge dans le quotidien du Théâtre-Italien, fait de succès, de déboires et d’intrigues : on plonge au coeur de la vie musicale sous la Restauration. On assiste en particulier aux premières représentations en France de La Donna del Lago et de Semiramide de Rossini, ainsi qu’à la création de son Voyage à Reims, tandis qu’à Paris Meyerbeer présente son opéra Il Crociato in Egitto. C’est enfin l’occasion d’évoquer la vie que Stendhal et ses amis menaient alors dans la capitale : la légendaire « vie parisienne ».

Auteur :
François Bronner, né en 1947, agrégé de mathématiques et docteur ès sciences, est passionné de musique et en particulier d’opéra. Universitaire à la retraite, il travaille maintenant sur la vie culturelle et musicale au XIXe siècle.

W. G. Sebald, lecteur de Beyle

Séminaire  Lectures et lecteurs de Stendhal

organisé par l’École Normale Supérieure (Paris), la Fondation Primoli (Rome), le Centre d’études stendhaliennes et romantiques (équipe Traverses 19-21), avec la collaboration du Département de Lettres et Langues de l’Université de Pise

Conférence :

Chantal Massol ( Traverses 19-21 ) :

W . G . Sebald   lecteur de Beyle

Mercredi 19 Janvier
à  14h30

MSH-ALPES
Salle de conférences (2e étage )

Stendhal Journal

Stendhal

Journal

PRÉFACIER : Dominique Fernandez

EDITEUR BIBLIOGRAPHIQUE : Henri Martineau, Xavier Bourdenet

Éditions Gallimard
Mémoires et autobiographies
Collection Folio classique
108 x 178 mm.
1280 pages
ISBN : 9782070438655
Code Sodis : A43865
13,50 euros

En librairie le 09/12/2010

L’ouvrage
« »Je pourrais faire un ouvrage qui ne plairait qu’à moi et qui serait reconnu beau en 2000″ (31 décembre 1804) : le voici, cet ouvrage, plus lent que les romans à s’installer dans l’amitié des lecteurs, que désarçonnent une liberté de ton, une désinvolture dans l’enchaînement des idées, un solipsisme des sensations peut-être uniques dans l’histoire de la littérature. Il s’agit, pour Stendhal, de se saisir dans l’émotion actuelle, dans l’instant, sans recul, sans distance, sans recomposition et dans l’immédiateté absolue du fugace, du mouvant. Pari fou, si l’on songe que l’acte d’écrire suppose justement du recul par rapport à ce qu’on a vécu, de la distance, de refroidissement de l’émotion. Dès qu’on fixe sur le papier un moment de sa vie, on en perd la fraîcheur, on en égare la sincérité, on le trahit.
Le 4 mars 1818 Stendhal note : « Je crois que pour être grand dans quelque genre que ce soit il faut être soi-même. Les livres immortels ont été faits en pensant fort peu au style. »»
Dominique Fernandez.